9- un simple secret

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Tu es à ton travail lorsque ton patron t'appelle pour te demander de venir à son bureau dans l'immédiat. Tu t'exécutes et entre dans son Bureau après avoir Toqué. Il t'attendait patiemment avec un verre à la main qu'il te rend dès que tu fus un peu plus proche. 

Tu remarques que depuis la veille, son Bureau est encore en désordre. Il n'a même pas eu le temps de ranger ce qu'il te fait rougir. 

-Oui, je dois avouer que je n'ai pas encore rangé le Bureau. 

 Il marque une pause avant de poser son regard brûlant sur toi. 

-Je préfère le revivre une fois de plus avant, prononce-t-il d'une voix rauque pleine de sous-entendus tout en prenant ton poignet entre ses mains pour t'attirer à lui.

Tes mains trouvent immédiatement son torse. Vos yeux ne cessent d'observer les lèvres de l'autre, ressentant un désir ardent après avoir goûté à l'interdit la veille. Vous brûler d'impatience de reconnaître et de revivre toutes ces sensations. Mais, pour faire perdurer le plaisir et continuer à laisser place à l'imagination, vos lèvres ne se cèlent pas encore. Souffle contre souffle, vous avancez doucement vers le visage de l'autre jusqu'à ce que vous vous embrassiez enfin dans un baiser qui n'a rien de doux. 

Impatient, il passe ses mains derrière tes cuisses et te soulève d'une facilité qui te déconcertera toujours avant de te plaquer contre le mur puis d'explorer ton cou avec ces lèvres chaudes et humides. Quant à toi, tu essaies de prendre des initiatives en déboutonnant sa chemise. Bientôt, il se trouva torse nu. 

Il passe la main sous ton haut et passe sa main sur ta poitrine et, cela ne fait qu'accélérer ta respiration. Puis, lorsqu'il cessa de torturer le haut de ton corps, sa main vient de loger à l'intérieur de tes cuisses puis, vient titiller ta partie la plus sensible de ton corps. 

-Putain, jure-t-il. 

Il continua jusqu'à ce qu'il te sentit faiblir avant de baisser son pantalon ainsi que son sous-vêtement pour venir te posséder d'un seul mouvement. Ton cri de surprise est étouffé par son baiser.

-J'aurais aimé t'entendre jusqu'au petit matin mais, là, on va essayer d'être discret, ma belle, te dit-il tout en continuant de rudes vas et viens. 

Il continue des vas et viens qui se font toujours de plus en plus rapides et plus puissants. Vous ne contrôlez plus rien, plus aucuns de vos mouvements. Votre seul souhait est de satisfaire votre désir jusqu'au moment où vous atteignez la jouissance en même temps. Vos grognements sont toujours étouffés par vos baisers. 

Vos restez comme ça encore un instant puis, il se retire, te pose délicatement par terre avant de se rhabiller puis de t'aider à son tour. 

-Je ne suis pas sûr que je m'en lasserai un jour, prononce-t-il d'une voix encore rauque. 

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