Short Stories

20- Un gâteau presque réussi

Il est en train de faire à manger quand tu décides de le rejoindre. 

- Ah, t/p, tu tombes bien ! Te lance-t-il d'un air enjoué.

 Sans même te prévenir, il te soulève et te pose sur le plan de travail. 

- Tu vas me goûter ça, te demande-t-il en approchant une cuillère de ta bouche. 

Lorsque tu goutes, tu ne peux t'empêcher de constater à quel point c'est bon. Il te regarde avec une lueur intriguée, un sourire béa aux lèvres. Tu ne lui réponds même pas car il a compris. Il approche son visage du tien avant de murmurer d'une voix raque contre tes lèvres :

- Je suppose que tu aimes alors. 

Puis, il scelle finalement le peu d'espace qu'il y avait entre vous. Ses lèvres bougent contre les tiennes, t'embrassent passionnément, te mordent, te montrent à quel point il t'aime et te désire à la fois. 

Il pose ses mains entre tes cuisses pour pouvoir te les écarter et se nicher entre afin que son corps soit d'autant plus porche du tien. Tu soupires, il grogne entre tes lèvres. 

Tes mains le décoiffent, ses mains te caressent, se posent sur ton cou, dans tes cheveux, sur ta taille, tes hanches, sous ton-shirt, te provoquant des tas de frissons, ne t'empêchant pas de soupirer contre ses lèvres humides et chaudes. 

Il grogne en prenant tes cheveux entre ses mains et tirer ta tête en arrière afin d'avoir un plus ample accès à ton cou qu'il commence à torturer de ses lèvres. Tu le désires tellement que ta tête commence à tourner lorsqu'il grogne contre ta peau qu'il a probablement marquée. 

Alors que tu passes tes mains sous son t-shirt, il s'écarte brusquement de toi avant de souffler bruyamment et se passer la main dans ses cheveux, embarrassé. 

- Purée, T/P, si je n'avais pas ce maudit plat sur le feu et que se nourrir n'était pas vital, je t'aurais prise sur ce putain de plan de travail jusqu'à ce que tu n'aies plus de voix le lendemain. 

Ah oui, la crème pour son gâteau...