PDV AHLIYA :
Ce matin, je me lève sur un lit, pas le mien, et j'ai donc commencé à paniquer.
- Eh, doucement, AHLAYA ! dit-il avec une voix rauque
DEJA, C'EST AHLIYA ET NON AHLAYA !
- Désolé j'avais oublié.
Merci Caleb pour tout ce que tu as fait pour moi mais je dois retourner chez moi. dis-je d'un ton sec
-Euh bah- il fut coupé par le claquement de la porte
Je suis ensuite sortie de la chambre et je me retrouve dans le salon qui a fusionné avec la cuisine et la salle à manger je suis dirigé vers la cuisine j'ai pris une banane je suis sortie de chez lui pour rentrer chez moi.
***
Après être arrivée chez moi, je me suis dirigé dans ma chambre je me suis jeté sur le lit et j'ai regardé le plafond pendant quelques minutes et j'ai ensuite tourné la tête pour regarder une photo de moi et de ma mère.
Elle me manque terriblement...
FLASHBACK 5 ANS PLUS TOT :
J'étais sortie avec quelques de mes amies, et j'étais donc rentré chez moi.
Je me dirigeais dans le salon prête à saluer ma mère, mais très vite j'ai entendu de voix familières je me suis donc caché derrière le mur et j'ai écoutée la conversation des deux adultes.
-Ecoute Mireille tu vas devoir choisir, c'est ta fille ou c'est moi ?! demande mon beau père à ma mère
- Toi, et puis de toute façon dans quelque temps Ahliya deviendra majeure et je n'aurai plus besoin de m'occuper de cette petite chienne. dit ma mère avec lenteur
J'ai eu vraiment mal à l'entente de cette phase c'est comme un couteau planté dans le cœur.
Après, avoir entendu cette conversation, je suis discrètement rentrée dans ma chambre et j'ai commencée à pleurer.
C'est le premier élément de ma vie qui m'a détruit.
Quelques heures après, ma mère est rentrée dans ma chambre avec un faux sourire.
- Coucou ma chérie - je ne l'ai pas laissée terminer.
tu ne voudrais pas plutôt dire "ta chienne" ?
- Mais qu'est-ce que tu racontes ? dit-elle en faisant mine de ne rien savoir
Arrêtes s'il te plait, arrêtes ta comédie maman, je vous ai entendus toi et Ben dans le salon et n'essaies même pas de me mentir maman ... FRANCHEMENT maman comment tu peux choisir ton fiancé qui n'est la que pour notre argent que mon VRAI père a donné, tu as réussi à choisir l'homme qui me frappe chaque jours sous tes yeux, en vrai je ne sais yeux même pas pourquoi je reste encore ici.
Tu me dégoute tellement. dis-je en la regardant avec dédain
je suis ensuite sortie de cette chambre et c'est ce jour la que j'ai définitivement changée.
RETOUR AU PRESENT :
Faut vraiment que j'apprenne à oublier le passé, ce qui est fait est fait .
Désormais je vais tourner la page, définitivement.
Je me suis donc levé de mon lit pour me laver, me brosser les dents, me maquiller et m'habiller d'un top blanc ainsi qu'un jogging noir.
Après avoir terminé, je suis dirigé vers la cuisine avec l'intention de cuisiner.
Merde il n'y a plus de riz, je vais devoir en racheter.
Je suis alors sortie pour aller vers le supermarché histoire d'acheter tout ce dont j'ai besoin.
- Ahliya ! ici derrière !
Ah Wen !
Wendy et moi on se connaît depuis nos premières années de collège et on n'ai meilleurs amis, je l'ai toujours soutenu et inversement et j'adore le genre vraiment !
Je me rapproche alors d'elle pour lui parler et prendre des ses nouvelles.
- Quoi de neuf aujourd'hui ?
Oh, rien d'intéressant à part le fait d'avoir dormi chez un inconnu parce que ce que-
- Olala à ta tête je vois que ça va pas du tout tu veux m'en parler ?
Je- oui j'aimerais bien mais faut d'abord faire les courses et si tu veux après tu passe le reste de la journée et la nuit à la maison ça te vas ?
- Oui commençons alors.
Nous avons fait les cours en parlant de choses diverses, nous sommes ensuite allées à la caisse et on est arrivées chez moi. Nous avons rangé les courses et nous avions enfin terminé le rangement. Et elle s'est assise au salon.
Wen, tu veux un café ou un chocolat chaud ?
- Je prends ce que tu prends ! cria-elle du salon
et j'ai ensuite fais deux chocolats chauds, quand j'ai terminé je me suis aussi dirigé dans le salon.
Tien , comme tu les aimes !
-Merci !
- Bon alors moi, pourquoi cet air triste sur ton beau visage ?
Par ou commencer, c'est difficile à dire, bah tu vois hier je me sentais pas très bien donc j'ai pris la décision de prendre l'air et de me promener tranquillement, mais je suis vite sentie suivi et j'ai accélérer le pas par peur et à un moment j'ai vu un homme derrière et je me suis donc caché derrière une grosse poubelle pensant l'avoir semée mais je me suis trompée, et ce que je voulais à tout prix éviter est arrivé. dis- je en essuyant les larmes qui ont coulées le long de mes joues
- oh bon Dieu, Ahliya je suis désolé à partir de maintenant je resterais avec toi pour toujours et si il le faut je viendrais vivre chez toi et je vais te protéger, tu ne mérites pas ce qu'il t'es arrivée d'ailleurs personne ne le mérite! dit-elle les larmes aux yeux
Merci Wendy, vraiment dans tous ce que je vis tu es là pour me soutenir t'es vraiment la meilleure amie !
Elle a ensuite ouvert ses bras pour me faire un câlin et j'ai accepté.
- Mais au fait comment ça se fait que tu es dormie chez un inconnu ? demande-elle
je me suis alors retirée de ses bras pour lui raconter la suite de l'histoire.
Bah en fait il m'a vu sur le sol et il est venu me voir rapporté chez lui pour bute de m'aider et de me soigner et il pourrait qu'on soit passé la nuit ensemble. dis je nerveusement
- QUOI VOUS AVEZ CANAPÉ ENSEMBLE-
Quoi ! Mais non juste on arrivait pas à décider qui dormirait sur le lit du coup on a dormis sur le même lit c'est tout !
- Ah, je comprends mieux maintenant, en même temps tu la dis avec plein de sous-entendus.
- ET tu l'as revu ou pas ?
Non, mais j'ai encore le temps et puis il faut que je le remercie gentiment et dans de bonnes conditions.
- Tu 'est quoi je ne veux même pas savoir. dit- elle en rigolant
Et nous avons rigolées ensembles.
***
YOU ARE READING
MR GREY
عاطفيةSaluttt , alors je ne suis pas du tout à l'aise avec les description donc je vais juste faire simple , vous allez suivre l'aventure d'une jeune fille de 22 ans nommée Ahliya Mckaylan ainsi que celle de Caleb Grey. BREFF, je n'en dis pas plus et j'e...