Dans un cauchemar obscur, la lumière est la bienvenue.
Ça, tout le monde en a conscience.
Mais dans un rêve léger et lumineux...Personne ne souhaite être terrifié et habiter d'une peur maladive au beau milieu de la nuit dans son sommeil.
Alors le cerveau, cherchant à se protéger de ces cauchemars si récurrents et nocif, instaure un système de défense, en s'attaquant à une chose assez précieuse pour l'être humain, la mémoire.
Effaçant les souvenirs les plus terrifiants, pour permettre à l'individu concerné de mener une vie normale.
c'est le but des amnésies traumatiques.
Elle protège de la vérité, de sorte à vivre dans un mensonge parfaitement sûr et sans danger, ou du moins, à en convaincre l'individu.
Seulement, l'âme et le cœur, eux, n'oublient jamais.
Ils sont, maîtres de leur propre sentiment, on peut les ignorer, mais jamais on ne pourra les supprimer. Ce sont eux, qui choisissent et désigne nos choix de vie, et les personnes qu'on intègre dedans.
Mais dans certains cas, le cœur peut désirer quelque chose que la conscience estime être "dangereuse" ou "malsaine".
Mais les désires de celui-ci l'emporterons toujours sur la raison.
Et ce désire, s'il n'est pas contrôlé jusqu'à un certain point, peut dériver jusqu'à la tragédie ou un pas de danse effectué une seule fois, est effectué à nouveau exactement de la même façon que la première.
Ou les mêmes erreurs se répètent.
Ou l'on devient incapable d'évoluer et d'apprendre de soi-même.
Et ça recommencera, à chaque petit désir... Aussi petit soit-il.On m'a toujours dit de rester dans le droit chemin, et de ne jamais céder à la tentation.
Mais on ne m'a jamais expliqué la raison.
Peut-être était-ce pour mon bien.
Ou celui des autres.
Car aujourd'hui, aucun souvenir que j'ai vécu ne comporte la moindre peur ou le moindre danger, comme-ci que, je n'avais jamais eu l'occasion de vivre, j'avais parfois la sensation d'être une princesse qui a grandi dans un donjon toute sa vie, sans jamais en être sortie une seule fois, où toutes les sensations ne changent pas, je n'ai jamais rien ressenti de nouveau, d'excitant, de palpitant, de dangereux.
Ou du moins c'est ce que l'on m'a toujours dit.
Et je ne peux pas prouver le contraire, étant donné que je n'en ai pas le moindre souvenir.
Je me sens vide et dépourvue du moindre sentiment en continu, chaque jour et le même à l'identique.
Mais, malgré tout, j'arrive à exprimer des moments de joie, et ce, seulement depuis que j'ai rencontré ce putain de chieur de première.
Clarke lewis.
Un imbécile, que mon cœur a décidé de laisser entrer dans ma vie, sans m'en avoir demandée le consentement.
Et j'étais parfois reconnaissante à mon propre organe pour ça.
- eh scarlett, qu'est-ce que tu fous ! On va être en retard lâche ton téléphone un peu et grouille toi !
"et voilà qu'il recommence à gueuler bordel, que quelqu'un me fracasse le crâne avec une poutre, je n'en peux plus"
- la ferme ! Arrête de crier.
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Ficción Generallumberton était une ville tranquille, avec une population calme, une petite ville où rien de nouveau, de frais, n'arrivait. L'esprit des gens était aussi mûr et ancien que les lieues de cette ville. Tous sauf certains, qui le dissimulait bien, très...