Chapitre 2

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//POV Tobirama//

Ce matin je me suis réveillé tranquillement, à peine je m'étais redressé que je retomba immédiatement sur mon lit

Aujourd'hui allait encore être une journée de merde, déjà qu'être dans la même université que mon frère et Madara est soulant à un point, mais en plus de cela il faut que tout le monde viennent m'emmerder au sujet de leur couple

Bien sûr avec mon frère la discrétion c'est 0, donc il n'y a personne au bahut qui n'est pas au courant pour sa relation avec Madara

Et ça m'énerve car la seule personne que je veux à mes côtés est coïncidence déjà avec mon frère 

Avec ces pimbêches qui me collent partout, qui m'offre des lettres à tout vas, et qui n'ont aucune gêne à me donner des chocolats devant tout le monde

Franchement le collège c'était une époque

Raaaah, ça m'énerve !

Pour la peine j'ai pris une décision, ça va sûrement déchirer ma relation avec Hashirama, mais j'ai besoin de me délivrer de ça

Aujourd'hui je vais avouer mes sentiments à Madara !

Je me releva d'un coup, le poing levé, prêt à mettre mon plan à exécution

Puis je retomba lasse sur mon lit

Trop de pensées dès le matin, je me recouche cinq minutes et après on verra pour ce fameux plan




~~~~



J'avais fini par me réveiller dix minutes plus tard, presque en retard

Je m'étais préparé en quatrième vitesse et était descendu dans la cuisine prendre une pomme, puis j'avais pris mon sac, enfilé mes chaussures et pris les clés de ma moto

J'étais monté sur l'engin comme un fou tellement je ne voulais pas être en retard

Finalement j'étais arrivé en cours avec cinq minutes d'avance, bon j'aurais pu faire mieux mais c'était déjà pas mal

J'entra dans le bahut comme d'habitude, sauf que là, l'atmosphère était un peu étrange, certains regards s'attardaient un peu trop sur moi à mon goût

Bref je continua mon chemin, flemme de me demander pourquoi tout le monde me fixait de la sorte

Je tourna dans un couloir pour rejoindre l'amphithéâtre dans lequel j'avais cours quand encore plus de monde se mirent à me fixer

Ok ça devient clairement chiant, je suis comme un con au milieu du couloir en train de me demander ce qui se passe alors que ces bâtards me fixent, ils rigolent et ont l'air tout joyeux, chelou

Je m'apprêtais à défoncer la gueule de quelqu'un qui avais osé me fixer trop longtemps, ouais Madara à déteint sur moi, quand mon téléphone vibra

Je le pris dans ma poche et regarda ma nouvelle notification, c'était Izuna

Je deverouilla mon téléphone et alla sur notre discussion

De Izuna :

Dis Tobi t'as vu la nouvelle publication sur insta ?!

Trop mignon, maintenant on peut dire qu'on est officiellement beaux-frères !

Eh oh Tobi ?

T'es mort ?

De Tobirama :

De quoi tu parles Izuna ?

De Izuna :

T'as pas encore vu la publication n'est-ce pas ?

Va la voir tout de suite !

Vu



Ok, si Izuna était autant agité quelque chose s'était passé, ça m'expliquerait peut-être aussi pourquoi tout le monde me fixe de cette façon

J'ouvris Instagram, et en effet, j'avais été bombardé d'une tonne de message, comment il voulait que je le sache aussi, ça fait un moment que j'ai mis les notifications d'insta en sourdine

J'avais été identifié dans un commentaire sous une publication, le commentaire disait "J'aimerais trop avoir une famille comme lui ~/////~"

Je regarda la publication et c'était une photo...


Cette photo...

Mes yeux se sont écarquillés, c'est impossible n'est-ce pas ? Je n'arrivais pas à quitter la photo des yeux

Je suis en train de rêver n'est-ce pas ? Dites moi que je suis en train de rêver !?

Je fis demi-tour, tant pis pour les cours, je ne voulais tout simplement pas rester une seconde de plus ici

Je ressortit du bahut et me dirigea vers ma moto, c'est à ce moment que j'aperçus Hashirama et Madara arrivé

Je ne fis pas attention à eux, je monta sur ma bécane et enfila mon casque et mes gants, je vis Hashirama me faire de grands signe, mais je l'ignora une nouvelle fois

Je démarra ma moto, et passa à coté d'eux, en passant je ralenti et jeta un dernier coup d'œil à Madara

Celui-ci me dévisagea un instant puis continua sa route, je fis de même puis partis




A suivre...

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