• • • La Souffrance et Le Plaisir

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Sar Ka Ha continua de caresser de la canne un long moment l'intimité de Nejanne, qu'il devinait de plus en plus humide. Parfois même, de petits spams traversaient ses cuisses et elle tenait difficilement debout, se tenant fermement au dossier de la chaise sur lequel elle était appuyée.
Elle se mordait les lèvres, les yeux clos, essayant de contrôler les sensations qui l'envahissaient, se refusant à ressentir quoi que ce soit de plaisant. Finalement elle se demanda même si elle n'aurait pas préféré qu'il la frappe juste.
Et comme un vœu exhaussé, les caresses cessèrent soudain brusquement et un violent coup s'abattît la faisant hurler, de douleur mais surtout de surprise. Elle se cambra, crispée, mais n'eut même pas le temps de se remettre sur de nouveau la canne était sur son sexe à la stimuler.
Sar Ka Ha la frappa encore, avant de la caresser, et ainsi de suite. La torture entre douleur et plaisir était insoutenable et la séance s'éternisait. Elle avait la sensation que son corps allait lâcher, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais toutes ces sensations nouvelles étaient insoutenables.
L'orgasme de la jeune fille montait, mais ça elle n'en avait aucune idée, et son cœur s'emballait tant qu'elle se cru presque mourir. Elle murmura entre deux respirations haletantes:

-M...Maître...

C'était une supplication. Elle voulait que cette torture cesse, même si au fond elle y prenait énormément de plaisir.

-Tu veux que j'arrête? demanda t'il sans pour autant cesser.

Elle hocha la tête fébrilement.

-Alors pourquoi tout ton corps de petite traînée me supplie de poursuivre?

Sa réponse fut un cri lorsqu'il frappa encore ses fesses de la canne.

Finalement, il suffit de quelques coups supplémentaires et de stimulation sur son clitoris pour que Nej jouisse dans un hurlement de terreur, ne comprenant pas ce qui lui arrivait, et de plaisir comme elle n'en avait jamais éprouvé. Elle s'écroula au sol, tremblante de spams.
C'est à cet instant précis que le seigneur comptait être le plus cruel. Pour associer son plaisir à la douleur, même si ça avait déjà été un peu le cas.

Il s'empressa d'aller chercher son petit jouet fétiche: un martinet de cuire dont les lanières étaient incrustées de petits pics de métal. Il avait déjà tué nombre de ses esclaves avec cet objet, arrachant leur peau jusqu'à ce qu'elles soient tout à fait écorchées, mais il se promit de ne se consacrer qu'au cuisses de celle-ci, et ni trop longtemps ni trop durement, pour qu'il n'aille pas jusqu'à trancher une artère ou lui ôter l'usage de ses jambes. Il n'aurait de toute façon pas besoin d'aller jusque là pour la faire souffrir comme il le souhaitait.

Le Harem de Sar Ka HaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant