Malheureusement, ils étaient bien présents, dans mon salon, en train de m'attendre. J'aurais tout donné pour que cet après-midi dure une éternité.
Le temps ne semblait pas être avec moi ce soir, j'avais l'impression qu'il passait même plus vite que d'habitude. Des larmes s'invitèrent au coin de mes yeux tandit que la boule a travers ma gorge se fit ressentir elle aussi , les jambes tremblente j'essayais de me contrôlais,j'avais toujours tout prévu dans ma vie mais cette annonce était la seul chose que j'ai été incapable prévoir.J'entendis la voix stridente de ma mère, qui m'appelait depuis la cuisine.— Dépêche-toi, on a déjà assez perdu de temps.
Descendant lentement les escaliers grinçants, je m'approchai de la pièce, tenant ma valise fermement. Ma mère y était tenu, et mes yeux furent attirés par un homme a la chevelure rousse au reflet doré et aux yeux étrangement noisette. De légères taches de rousseur ornaient son visage,ça ne faisait pas enfantin bien au contraire, juste en dessous de ses yeux. Il ne me jeta pas un regard, semblant tendu.Malgre cet allure fermé qu'il avait il avait un visage angélique du a la couleurs de ces cheveux très peu commune ici.
Il discuta quelques temps avec ma mère, et nous nous dirigeâmes vers l'extérieur, sans que je ne puisse dire un mot. Il me dirigea vers sa voiture, et je m'assis a l'avant, sous ses ordres. Mon cerveau s'était comme mis en pause, c'était une sensation étrange.Mon cerveau voulait réfléchir mais un instinct inconnu empêchait celui ci pensait.Peut être par peur de ce à quoi j'allais imaginée.
Assise, je détournais la tête vers la vitre, pour éviter un quelconque contact visuel. Je vis soudainement mon reflet s'afficher sur la plaque en verre ; mes yeux étaient rouges, je pleurais sans m'en rendre compte.
Je fais tellement pitié.
— Tu es au courant que je ne vais pas te bouffer, hein.
Sa voix grave fit presque sortir mon cœur de ma cage thoracique. Bordel ! Pourquoi diable me parlait-il ?
Alors que nous étions sur la route, mes yeux se perdirent dans le flot incessant des voitures qui défilaient devant nous. J'essayais de les compter, de les suivre du regard, dans l'espoir de canaliser mes pensées, jusqu'à ce que le roux se remit a parler.- Je ne t'ai pas acheté, tu sais. Enfin, ce n'est pas moi... Isla, c'est ça ?
- Je n'ai aucune envie de parler avec toi...
Ça doit être surement un de ses supérieurs, à quoi bon, l'essentiel, c'est où je vais finir. Dans mon pays, les filles comme moi finissent prostitués ou découpées en morceau. Cette simple pensée me fit frissonner. Ma jambe se mit trembler, attirant l'attention de l'homme assit à mes côtés.Je comprend mieux pourquoi je ne voulait pas y pensé car ça me faisait peur, affreusement peur
Une question me brulait la langue,le poids sur celle ci me donné des nausées,prise d'un élan de courage je demandais:
— Est-ce que je vais servir de prostituée ou je ne sais quoi...
Je l'entendis rigoler légèrement.Qu'es-ce que ma question avait de drôle bon sang !
— Eh bien, je ne voudrais pas te gâcher la surprise, ça serait triste... non ?
A sa réponse je pense au pire et si il vendent mes organes ou pires me torturent pour je ne ces quelle raisons,mon ventre ce tordais dans tout les sens mon ventre réclamais de vomir a cause du stresse qui me pesait ..
Je priais pour que tout cela soit une blague, que ma mère m'appelle en me disant que tout n'est rien qu'une mauvaise blague,qu'elle vienne me recuperée me serrant dans ces bras en disant que c'était juste une blague de mauvais gout.
***
Le trajet m'a paru durer une éternité, ce qui jouait avec mon stress, de plus un silence gênant planait, mais on finit par arriver devant un grand bâtiment.
J'ai peut-être été vendu à des hommes d'affaires finalement.
Le rouquin me dit de sortir et de le suivre, ce que je fis, j'entrai dans l'ascenseur et je vis qu'il appuie sur le plus haut étage.Dans cette petite pièce enfermé avec lui,j'avais peur, je commençais a m'habituer a connaitre ce sentiment si étrange j'ai l'impression pourtant que ce n'est pas le première fois que je ressens ceci.
Un silence gênant se fit sentir, je tremblais légèrement encore choquer et que surtout la réalité des choses m'avait rattrapé, tout est sur le point de s'arrêtait ou peu être que ce n'est qu'un nouveau départ.
Nous arrivons en haut et il me pousse pour me faire avancer et m'amène dans un bureau dans lequel un homme regarde la vue à travers la bée vitrée. Assez clichée non?
– Assieds-toi.
Sa voix froide, si froide que j'en ai eu un frisson.Mes yeux continuais à balayer la pièce un grand bureau y été entreposer tout était sobre,pas beaucoup de fantaisie des ton vraiment terne,ça concordais avec la personne devant moi il avait une aura sombre étouffante m'empêchant de respirée de manière convenable.
Je m'assis hésitante, je détestait qu'on me donne des ordre cependant actuellement je ne suis pas en position de force alors je m'exécute
-Bien Carlos sort.
-Si.
La porte se claqua désormais : j'étais seul avec cet homme.— Isla... Tu n'as vraiment pas de chance, des milliards de filles sur terre et ça tombe sur toi.
Il se tourna, la première chose que je vis, c'étaient les yeux bleu océan aussi froid que vide, mais j'essaye tant bien que mal de ne rien laisser paraître.Ils étaient magnifique,ses yeux évidemment ses yeux...
— Dommage qu'une si jeune femme soit là pour parler avec moi.
Ma bouche reste scellée, cet homme était tout ce qu'il y a de pas normal !
Il vainc s'assoir sûr sont son bureau devant moi, il prit mon visage entre ces doigts, je dégageai ma tête, non mais pour qui, se prend-il, pour me tenir, je vis, c'est yeux s'écarquillait pendant moins d'une seconde, il sourit légèrement avant d'attraper ma mâchoire une deuxième fois.
— Un si joli visage, j'aimerais ne pas l'abimer donc la prochaine fois...
Il enfonça ce doigt me faisant un mal de chien, je bougeai ma tête chant un gémissement
- La prochaine de me repousser..bienvenue.
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Du coup, voilà c'est sincèrement trop court mais bon.
puis la correction de 15 chapitre c'est vraiment long!!!!!
Bisou
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Déteste-moi.
General FictionJ'ai mal, j'avance, je tombe, il me relève. Mais, si on tombe a deux, qui nous relèvera ? Je devais te détester, tu as voulu m'aimer, et pourtant on s'est promis promis de s'haïr jusqu'à ce que l'amour nous sépare.