Chapitre 1 : Freud, une fille banale

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Freud-chan une jeune lycéenne de première était une fille comme les autres, enfin c'est ce que tout le monde disait, au fond d'elle, elle ressentait un vide profond qui s'agrandissait de plus en plus chaque jour. Elle se transformait petit à petit en une coquille vide, elle ruminait et ruminait le néant, elle était perdue dans le propre chaos de son être.

Quand... BAM !

- "Excusez-moi, avez-vous mal quelque part mademoiselle ?" dit un magnifique jeune homme de terminale


Freud-chan ressenti en elle un trop-plein, comme si tout le vide s'était volatilisé, rempli par de viriles émotions de joie et de bonheur. Ses cheveux blonds bouclés comme les poils d'une labrador en chaleur, ses yeux bleus comme les veines de Lebron James, son léger duvet rappelant la vigoureuse moustache du paternel parti chercher du lait il y a de cela 14 ans, laissant une famille sans phallus, donc sans avenir.

- "Oui.. oui.. oui.. ça va merci" répondit balbutiante la jeune fille

- "Je suis soulagé, je retourne en cours, au revoir !"

- "Attends !" chuchotait la jeune fille que son senpai n'entendit point


Lacan-chan une de ses amies qui passait par là vit Freud-chan par terre

- "Freud-chan ça va ?!"

- "Oui ça va... ce garçon blond..."

- "Hans-senpai ?! Qu'est-ce qu'il t'as fait ?"

- "Il est le phallus que j'ai attendu depuis tant d'années... je ne peux pas le laisser partir comme ça... il sera mien ! Il compensera le vide que j'ai entre mes jambes de par ma condition de femme."

- "Freud-chan tes paroles sont si inspirantes ! Mais j'ai dû manquer un épisode, tu me raconte ?" répondit Lacan-chan

C'est ainsi que Freud-chan ressenti pour la première fois l'envie d'un phallus, pour la première fois, elle voulait voir les pétales de cerisier tomber.

Fin du premier chapitre

Sigmund Freud voulait voir tomber les pétales de fleurs de cerisierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant