The reader and protagonist have to be Definitely in True Love. [FR]

91. Lecteur : Ce monde est un roman.

Maintenant, où était-il ?

Du Ze ouvrit les yeux et son champ de vision fut rempli d'un blanc pur. Il était seul. Toutes les blessures sur son corps avaient disparu comme si elles n'avaient jamais existé.

Après un bref intervalle alors qu'il était confus, Du Ze commença à regarder autour de lui pour essayer de régler rapidement sa situation actuelle - pourquoi était-il soudainement arrivé à cet endroit ? Les pensées de Du Ze étaient toujours sur l'autodestruction inattendue du dieu de la lumière. Il n'avait pas pensé que le dieu de la lumière aurait une telle surprise dans sa manche. Une personne idiote et mignonne pensait que le soi-disant combat Final BOSS n'était qu'une formalité, mais le dieu de la lumière avait utilisé sa compétence ultime "verdict" pour anéantir tout son groupe.

"Tu es mort."

Du Ze regarda la blancheur sans limites qui l'entourait – était-ce l'au-delà ?
Blanc, blanc, blanc, blanc et blanc. C'était comme tomber dans une cuve de lait, ou comme être sur un morceau de papier blanc où il n'y avait qu'une chose peinte en couleur dessus.

Du Ze examina son environnement puis dut fermer les yeux. Il découvrit que toute cette blancheur était plus inconfortable que l'obscurité totale. S'il regardait longuement la blancheur intense, non seulement ses yeux étaient éblouis, mais il avait aussi envie de vomir.

"…. Si j'avais su que je pouvais te rencontrer à l'avance, j'aurais laissé le dieu de la lumière te tuer."

L'instant d'après, Du Ze entendit quelqu'un soupirer. La première réaction d'une personne stupide et mignonne était le bonheur - juste au moment où il se demandait ce qui s'était passé, le sujet en question apparut - mais une fois qu'il comprit le sens de ce que cette voix avait dit, il était consterné.

Du Ze prit une courte bouffée d'air ; son cœur semblait avoir des spasmes et tout son corps semblait rigide comme un bloc de pierre. Il ouvrit les yeux et regarda l'orateur. Au moment où il vit cette autre personne, ce fut comme si un éclair l'avait frappé sur le dessus de sa tête. Celui devant lui était totalement au-delà de son imagination.

Dans cet espace blanc pur, "celui-là" accueillit Du Ze.

"Nous nous rencontrons enfin, je suis le Créateur de ce monde."

Lorsqu'il entendit cette introduction, Du Ze euy l'impression que tout son corps était piqué par des aiguilles jusqu'à ce qu'il soit engourdi. La personne qui prétendait être le créateur du monde avait des cheveux noirs courts et portait une chemise blanche, un pantalon noir, une paire de lunettes et des appareils auditifs bleus - cette autre personne lui ressemblait !

"Ne t'inquiète pas pour ça." Il semblait comprendre le regard vide de Du Ze. "Je n'ai pas d'apparence fixe et je prends généralement une forme qui t'est familière."

Merde ! Tu m'as fait peur ! Le cœur de Du Ze était comme un écran de télévision rempli de jurons puissants. Pendant un moment, il pensa que cela allait être un développement d'intrigue cliché (1), comme si cette personne avait une relation avec sa mère et que lui et le dieu avaient une relation – mais c'était juste le sieu Créateur qui utilisait son image.

Enfin, je sus la vérité et mes larmes coulèrent (2).

Après le choc initial, une certaine personne idiote et mignonne se rendit compte que "dieu créateur = miroir grandeur nature". Du Ze pensait que cela était en fait assez cohérent avec le cadre du roman. En tant que dieu qui avait créé le monde, le créateur du monde du « sang-mêlé » n'était pas bien connu parmi les gens. Il n'avait ni idoles ni temples et les informations que les habitants du Continent du Chaos connaissaient à son sujet étaient pitoyablement rares.