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                     Le lendemain
            
                   Vanessa

Je venais de me réveiller la tête douloureuse.

Je n'avais pas bien dormi, toute la nuit je ne faisais que pleuré en repensant à mon ancienne vie, quand mes parents étaient mes parents : aimant doux attentionné,ect....

Mais pourquoi tout a basculé aussi brutalement.

Tout allait bien nous étions une famille heureuse, et du jour au lendemain tout a changé, mais pourquoi !!!au fur et à mesure que j'y pensais, que j'y réfléchissait mes larme coulait à flot mes yeux étaient rouge et des cernes ce dessinait sous mes yeux.

Un: Toc toc toc me sortie de mes pensées.

Maman : Vanessa !!! Vanessaeh!!! Tu dors encore à cette heure, et tes assiette, qui va les laver ? moi hein ? n'y compte même pas tu entends, si tu ne les lave pas, non seulement tu n'ira pas à l'école mais tu ne mangera pas dans cette maison. Imbécile tu crois que je suis ta bonne ici. Reste là-bas ne sors pas les laver, tu verras.

Après ça elle partie de devant ma porte, je me levais à mon tour pour aller faire ce qu'elle m'avait demandé. Dormir moi ? Elle était bonne celle là.

J'ai fini de lavé mes assiette et m'apprête pour l'école, le seul endroit où je peux être loin d'eux.

Seul endroit où je peux respiré.
Où personne ne peut me dérangé.

J'ai bientôt fini, et m'apprête dès à présent à ouvrir la porte, pour m'en aller quand une main posé sur la mienne me stop net.

“Non pitié pas sa, pas lui.” pensais je du fond du cœur.

.....: n'oublie pas, pas de contact avec les garçons, ok. Dit-il avec son regard de “tu es à moi.”

Je lui fis un oui de la tête avant d'ouvrir rapidement la porte et de m'enfuir. Le sentir si près de moi était une vraie torture.

Dire qu'a une époque sa présence me réconfortait, hum la bonne blague.

Je le déteste! comment quelqu'un d'aussi gentil et attentionné que lui a pu si brusquement changer.

Et son “pas de contact avec les garçons” comme si il savait comment je me comportait en classe. “je ne parle pas ne rie pas, je n'ai aucun amis, et en voi pas trop l'intérêt, à l'école je suis une vraie tombe.”

Je viens d'arriver,il n'y a encore personne dans la salle.

Je me dirige vers mon siège, le nettoie avant de prendre place. J'ouvre mon Manuel et commence à réviser, mais j'ai du mal à me concentrer,vu que ma tête me fait encore et toujours mal.

Heureusement que les deux personnes qui me servent de parents, n'avais pas remarqué que j'avais les yeux rouges à cause d'avoir pleurer toute la nuit.

Si ils l'avaient su j'aurais été bonne pour les expliquer le pourquoi du comment.

Et je suis sûr qu'ils ne m'auraient pas permis de venir à l'école. Par peur que les gens croient, non voient qu'ils me maltraite.

Il était huit heures trente quand le professeur entre en classe, certains élèves étaient rentrée un peu plus tôt.

Mais d'autres était légèrement en retard, chacun avait son excuse :« il y avait des embouteillage» ou «ma mère était vraiment malade ce matin» d'autre cherchais de bonne excuse alors qu'ils étaient dans la cour entrain de traînée après que la cloche est retentit.

Les coups dur de la vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant