Jour 6

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Cher journal,
J'ai enfin pu sortir d'isolement, mais c'était sans compter le prix à payer. 

Le jour que je pensais être le plus joyeux de mon enfer s'averais être en faite le plus gris.

Mon frère est mort. 

Son coeur avait cessé de battre. 

J'ai demander une permission pour aller à ses funérailles mais cette dernière m'a été refusé car mon état de santé mentale ne me permet pas de m'y rendre apparemment. 

A cause de mes pleurs ce soir-là, les infirmière ont jugé bon de me faire retourner en isolement. 

Comme je refusais d'y aller de mon plein gré, ils m'ont trainé par les pieds et le pantalon me déshabillant et m'humilliant au passage devant les autres patients. 

Sortez-moi de là...

Cher journal... Voici mon enfer. (M. Sano)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant