" Ne vous inquiétez pas , je me suis occupée du corps paternel d' Ivan. "
" Ce n'est point de ma faute si tu es tombé amoureux d'une femme dangereusement folle tel que moi. "
Black out.
«Caroline ?»
Ivan prononce.
« Oui? »
Je réponds comme si de rien n'était.
« Ce moment était agréable. Merci de m'avoir permit de vous accompagner avec des figures de patinage. Mais je devrais y aller. »
« Ce n'est rien, voyons. Bonne fin de journée. »
Je réponds, redoutant le moment où j'ai accepté qu'il me parle.
Ou du moins, redoutant le moment où je lui avais demandé son prénom.
Je le regarde alors partir, se dirigeant vers la sortie. J'attends quelques secondes et ensuite me précipite vers cette dernière à mon tour.
Je retire mes patins et me met à tourner en rond, tout en cherchant le sens et la logique de ce qui m'arrive.
Tout ceci est impossible.
« Respire Caro »
Je pense, mettant ma main sur ma poitrine. Ayant l'impression que le cœur me serait arraché dans pas longtemps.
Je souris, essayant de chasser les idées négatives me tourmentant le cerveau et sort de ce lieu qui n'était rien devenu d'autre que maudît.
Je marche alors vers mon logement, tout en écoutant de la musique et admirant les paysages m'entourant.
Je devais rentrer chez moi, à tout prix.
16h 30 - Rue Italy , villa 345 , Caroline Wagner.
« Il est donc revenu, Elias ? »
Je questionne mon ami d'enfance.
Mon acolyte, mon copilote depuis plus de dix ans. Qui lui, était au téléphone.
« Je te demande pardon. De quoi est-ce que tu parle ? »
J'active le haut parleur, et laisse mon portable derrière moi, sur la table basse alors que je me dirigeais vers ces immenses vitres en verres.
« Ça peut paraître insensé, je te préviens. »
Je soupire, anxieuse et ajoute, en admirant la vue en face de moi
« Mais j'ai rencontré un homme, ce matin, qui se prénomme Ivan. »
« Ivan? »
Il prit un moment de réflexion, puis ajoute
« Ivan Novikov ?
Non Caroline, tu ne prononces que des bêtises. »
« Ah bon? »
Je réponds sarcastiquement.
« Il a déménagé directement après la mort de son père..
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IDYLLE
Romance❝ Je pensais que toi , tout comme moi, était plongé dans cet océan. Cet océan où tout ce qu'il y avait autour n'était rien d'autre que la trahison. Mais, Caroline, tu es la trahison. Et qu'est-ce que la trahison peut être douce, charmante, si belle...
