BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'Amarok

☾13

Misako souleva les cinquante kilo de la plaque d'égout à une main sans le moindre effort. Elle jeta un coup d'oeil à l'interieur et ne vit rien appare les ténèbres. Un filet d'eau coulait dix mètre plus bas. Ses yeux était remplit de larme, mais elle n'arrivait pas à coulé sur ses joue. Elle tenait contre son tors la tête décapité de son frère. Elle n'avait pas put emporté le corps. Elle l'avait laissé là. Les autorité se moquait bien de la mort d'un vampire. De tout façon, ils était déjà déclaré comme mort pour la polices. Ils avait fugué tant de fois ses dix dernière années que personne ne les avait chercher quand il avait disparue pour de bon. Il s'était retrouvé dans un trafique et avait servie un moment de nouriture à un nids de vampire. Mais ils avait survécue, alors Lucius leur avait fait une proposition, mourir en humain ou renaitre en vampire. Ils n'avait pas hésiter longtemps. La vie éternel. Ils ne devait plus jamais manqué de rien, ne plus jamais être séparé. Misako venait de perdre son frère et elle allait le faire payé à se loup, même si elle devait bruler le monde entier.

Elle se jeta dans la bouche d'égout et remonta le courant vers le nids. Lucius était un un strigoy mineur. Il n'était pas roi depui bien longt temps, tout juste cinq siècle. Il n'avait pas obtenue la marque d'Anubis. Il n'était pas Pharaon, mais Medjaï. Bien qu'il est tuer son stri*ygoï est constirué sa ligné. Il n'avait pas été accepté dans le cercle vampire. Il était obliger de vivre en marge de la sociéter. Il constitué sa ligné d'aolescent abandonné, de juncky, de prostitué.

Misako avançait dans l'eau froid. Elle traversa la ville grace à son labyrinthe soustérain. Il ne lui fallut pas longtemps avant de ressortir à la surface au nord est de la ville. Elle marcha un moment entre les barre d'immeuble. La nuit tout les chats sont gris ou tout les vampire semble humains. Elle regarda à peine deux de ses congénaires se nourir sur un SDF. Ils n'allait pas le tuer, mais le laissé exangue. Il reveindrait dans quelque jour quand il se serait remplumer. Il lui laisserait quelque billet quand même, il n'était pas des monstres. Misako est sont frère avait fait ça un moment. Dans les cité, plienne de gens le faisait pour payer les fin de mois. C'était mieux rémunérer que la prostitution et moins risqué.

Misako rentra dans une barre d'immeuble. L'une des plus délabré. Il y a bien longtemps que les humains ne vivait plus ici, qu'il n'y avait plus de propriétaire. Bon nombre de jeune Strygoï en avait fait leur repèrent. Les humains vivant aproximité avait demander qu'on virent les suseur de sang. Mais tant qu'il n'embétait pas le bourgeoit sous leur fenêtres. La police n'allait pas bouger. Laissant les vampire maitre des tours et de la nuit. Misako monta les étage jusqu'au quinzèime. Elle ne regarda pas la batisse tombé en ruine. Elle évita les corps des humains exangue servant de nouriture. Elle avait été comme eux. Elle avait été eux. Elle ne l'était plus. Mais Akira été maort. Elle portait sa tête dans ses mains. Elle tuerait le loup. Elle aurait sa vengeance.

Mizako arriva au sommet de la tour. Tout les portes avait été condané sauf celle du fond. Lucius en avait fait son repère. Un géan gardait l'entré, énorme et baraqué comme une harmoire à glace. Il était assit sur une chaise en bois. Misako se plaça devant lui et grogna.

— Dégage ! Je dois voir Lucius !

Elle ne l'avait vue qu'une fois dans tout sa vie. Quand il l'avait transformé. Pour obtenir un entretient, il fallait avoir du galon et ça elle n'en avait pas.

La montagne gloussa.

Misako ne se démonta pas.

— Dégage ! rugit-elle.

— Fait moi bouger, la défiat la montagne.

Il n'y a pas vraiment de différence de force chez les vampires, ni de vitesse. Ils ont tout la même puissance, qu'il soit moroï ou strygoï. Leur vrais pouvoir vienne avec le temps et il ne les obtienne pas en veillissant. Mais en survivant à des moment traumatisant à des instant qui reiveille leur âme humaine.