Le vrai amour (France x Uk)

Chapitre 9 : Bientôt la fin ?

Il était 9h34 quand j'arriva au tribunal. J'étais plus couverte que d'habitude car Espagne avait déverser sa colère sur moi ce matin par rapport à plusieurs petits choses. Enfin, le juge nous accorda le droit de s'assoirent et c'est ce qu'ont firent. Le procès commence et je regarda mes enfants du coin du l'œil, ils étaient tous près de leur père, si proche, si heureux, si... Uni... J'eus un pincement au cœur en pensant à ça.
Plus tard, On sortait tous du tribunal. Je partait déjà pour rentrer chez Espagne malgré le fait que je ne voulais pas. J'entendais les rires de mes enfants avec ceux de leur père et sa me détruit encore plus. Je devrais être au près d'eux ! Je devais être là à côté et rires ! C'est tout ce que je voulais !.. Je voulais juste... À quoi bon... Il est trop tard...
J'arrive chez Espagne et je le vois avec une femme sur le canapé.

France : Qui est-ce ?!

Espagne : Pas t'es affaires ! Dégage !

Je prie peur et préfèra allé me cacher dans la chambre qui était normalement destiner à un de mes enfants. Je pleure comme d'habitude... Je me fais pitié, je ne suis qu'une moin que rien ! Je me recroqueville dans le coin de la salle, à terre comme une pauvre bête. Même les bêtes on mieux que moi... Je ferme mes yeux espérant oublier. Quand je les ouvrir, il faisait tout noir. J'imagine que je rêve encore... Je senti quelqu'un s'appuyer sur mon dos.

E Francia : S'il te plaît France... Relève toi...

Je me réveilla en sursaut ! Ce n'était pour tant pas un cauchemar ? C'était si court... Je me leva et j'alla faire mes valises. Je ne voulais pas rester 1 minutes de plus ici. Quand j'arriva près de la porte de sorti Espagne me prit violemment le bras !

Espagne : Où tu vas ?!

France : Je part !

Espagne : Quoi ?! Pourquoi ?!

France : Réellement ?! Tu te fou de moi ! Monsieur joue le gentil gars juste pour avoir un peu de sexe !

Espagne : Tu raconte n'importe quoi ! Je t'aime contrairement l'autre et ses enfants !

France : Ce sont mes enfants aussi !

Espagne : Il n'ont pas l'air d'être si triste que tu ne sois plus la dans leur vie !

France : Je-

Espagne : Tu m'appartient !

France : Je ne suis pas une chose qu'on achète pour le jeter après !

Espagne : Est où ira-tu ?! hein ?!

France : Quelque part.

Je le fit lâcher mon bras et parti. Il y avait très longtemps que je n'étais pas retourné là. Mon vrais chez moi, toute mon enfance y est... Je lui fait déshonneur en revenant dans cette situation. Je rentra dans mon ancienne maison, le Palais de Versailles. Quel magnifique endroit. Je déposa mes valises et me mit sur le lit Espérant trouver le sommeil. Je ne prend même pas la peine de me changer où quoi que ce soit d'autre. Je m'endormir laissant la réalité derrière moi.

Je me réveille en sursaut. Je ne me rappelle pas qu'est-ce qui ma fait peur. J'ai oublié mon rêve pour revenir à la réalité. Les 2 ne veulent pas de moi, est-ce que le paradis m'accepterait ? Je pourrais peut-être y retrouver mon père et ma sœur. Maintenant que j'y pense c'est vrai que j'avais une sœur. Je me lève et essaie d'oublier ce dont je vien de penser. Je ne parle jamais de ma sœur, elle était tombé amoureuse de Nazi. Je préfère oublié, l'amour la rendu aveugle et moi c'est le besoin d'une famille parfaite. Enfin, je me change et part travailler.
Arrivé, Allemagne vient tout de suite me parler.

All : Comment va tu France !

France : Ça peu aller...

All : Je n'ai pas cette impression...