Chapitre 10 : Verdict

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Le matin, je savais pas si je voulais aller travailler ou non. Je suis juste très fatigué mais je ne pense pas avoir réellement le choix donc je parti me préparer.
J'arrive dans mon bureau et je m'assois sur ma chaise. Je soupir et commence la paperasse. Un moment plus tard, je me demande si je ne devrais retourner voir Italie. C'est vrai qu'il m'énervait car il voulait que je me mette à la place de Royaume-Uni mais il avait peut-être raison. Si je n'avais pas arrêté les séances qu'on faisait tous les deux pour à la place aller vers Espagne peut-être que tous ce qui sait passer ne serait jamais arrivé.

À midi je rangea mes affaires et partie au tribunal pour avoir le fameux verdict. Je tremblé mais je savait déjà quoi faire si je perder la garde de mes enfants. La solution de "facilité" comme disent c'est personne si forte d'esprit. Moi-même un moment je disait ça, j'ai l'air conne maintenant non ?...

Arrivé, je vis mes enfants et j'avais envie de les embrasser mais je ne pouvais pas. Je les regarda de loin, près de leur père et si loin de moi. Je les ai porté 9 mois dans mon ventre et je me disais qu'il serait parfait tel qu'ils seront. Je soupir et rentre dans le tribunal. Je m'assois et attends que le juge arrive et nous donne le verdict. Je taper des pieds par anxiété, je ne pouvais pas arrêter.
Un moment était passé mais j'avais l'impression que 2h c'était écoulé, le juge rentra dans la salle tout le monde ce lève et quand il nous autorise à s'assoient on le fais. Il commence à parler de truc qui pour moi n'ont aucun intérêt, tous ce que je veux c'est le verdict et il y vient enfin.

Juge : C'est ainsi que moi et mes seconds avons décidé que la garde des enfants sera entretenu uniquement par Uk.

Je fondit en larmes. Ce choque était trop fort pour moi, je hurler et les gens me dévisager mais qu'est-ce que j'en avais à foutre ?! Je criait que ce n'était pas possible ! Que ce sont mes enfants, mes bébés ! Je me leva brusquement continuant à crier ! Puis je me senti très mal et plus rien une nouvelle fois. J'avais mal partout et ne voulait plus me battre. Je savait au moins qu'est-ce j'allais faire maintenant. Plus de chemin inconnu, il n'y avait qu'une route à prendre dans ma tête j'avais déjà barré tout autre option qui serait potentiellement possible.
Je me réveille en hurlant ! L'endroit était tout blanc donc je compris que j'étais à l'hôpital. Il y avait une fenêtre à côté de moi et j'espère qu'elle soit assez haute pour que je puisse sauter mais non malheureusement. Un médecin ce dépêcha de venir près de moi et me recoucha sur le lit.

Médecin : Veuillez vous calmez madame ! Rien de mal vous sera fait, nous voulons juste votre rétablissement.

France : J- je veux partir...*repond-y-je tremblante*

Médecin : Nous devons malheureusement vous gardez un moment car il semblerait que vous ne soyez pas en bonne forme.

France : Je s-suis ici d-depuis combien d-de temps ?..

Médecin : Eh bien... Depuis 5 jours madame...

France : Qu- quoi ?!*Dis-je choqué*

Médecin : Vous auriez pu mourir sur place mais votre mari-

France : taisez vous. Je n-ne veux pl-plus rien savoir. Ça n-ne m'apporte p-peu maintenant. Qu-quand pourrais-je rentrer ch- chez moi ?..

Médecin : Dans quelque jour madame...

France : Bien... Merci...

Après ça, je n'ai plus du tout ouvert ma bouche. Je n'avais plus envie de rien et j'ai commencé à me mutilé pour conter le jour. Je m'ennuyer donc autant faire ça. Je me rappelle très clairement que personne n'est venue me voire lors des 4 jours où je suis resté à l'hôpital car je n'étais pas "rétablie". Les médecins mon finalement laissé partir au 5ème jours. J'étais enfin libre d'exécuter mon plan. Pour faire simple j'allais me détruire la santé à petit feu.

Rentré chez moi, je retira mes bandage au bras pour avoir la magnifique vision de ma superbe mutilation !.. À ce moment je prie un couteau et continua mon œuvre sur mes 2 bras. Quand j'eus fini de déverser ma colère sur mes bras je remis des bandages et partis me chercher quelque chose qui pourrait m'éclater la geule. Il n'y avait personne dans cette grande et putains de maison pour me dire quoi faire donc j'allais en profiter !

Ça devait faire quoi ? 5h que j'étais entrain de me déchirer en fumant et buvant comme pas possible. J'oubliais enfin ma souffrance et je me sentais légère ! J'ai cassé, déchiré, hurler dans cette maison mais ce n'était pas assez ! J'avais un briquet et PLEIN de produit inflamable ! Étais-je prête à faire ça ? Non vu que je ne l'ai pas fait. Je préférais fondre en larmes suppliant que je me réveille. J'espèrer que ce n'était qu'un cauchemar, un putains de cauchemar. Que tout ce qui c'était passé était que le fruit de mon imagination. Est-ce que la solitude ce fait ressentir ou pas ?! Je me mis à rire en pensant à ça. Puis je crois que je me suis endormi, oui, je me suis endormi. Je me suis réveillé car mon réveil sonnait, je le cassa comme il cassait mes oreilles puis je partir prendre une douche. Je ne prie pas la peine de manger, on m'avait déjà bien nourrir à l'hôpital.

Depuis je suis devenu une addicte des clubs et drogues. Je me réveillais parfois dans le lit d'un homme ou quelque fois je me rappelle mettre fait violé pour le pur plaisir de ces connards ! Je n'allait plus travailler et, oui, je l'admet que beaucoup de personnes m'on appeler mais je ne répondait pas. Pourquoi ? Et pourquoi pas en faite ?

Il devait être 1h du matin quand je cru entendre la voix de mon père me dire de le rejoindre. Je suivi la voix jusqu'à monter dans un bâtiment qui mettait totalement inconnu. Je fis beaucoup de bruit ne marchant pas droit donc on ma peut-être entendu mais bon... On s'en fiche. Quand j'arriva sur le toit, je vis mon père et il me disait que si je voulais le rejoindre, il fallait que je saute. Je me mis sur le bord du bâtiment les larmes coulante de mes yeux. Je me demandais si la chute allait m'être fatal ou si irais-je juste à l'hôpital. Je ferma mes yeux et senti mon cœur battre de plus en plus vite. Après un moment, je fis le premier pas vers ma mort. Plus rien. Est-ce ma fin ? Je sentais le vent traversé mon corps. Tout était au ralenti. puis soudain je me dis non je ne veux pas mourir, non je veux pas partir, ai-je tant d'autres choses à vivre ? que devrais-je choisir ? Tout ceci ce termine ?! Tout me semblait si triste... Je crois que je regrette encore une fois. Je ferma mes yeux laissant la mort me prendre.

Puis...

J'attendit un bruit sourd. Ça ressemblait à un téléphone qui sonne. J'entendis comme si il pleuvait car enfaîte il pleuvait. La pluie tombe sur mon visage mais ça ne me réveille pas. Sa sentais mauvais et je sentais plus du tout mon corps. Je me suis dit que la mort ne voulait pas de moi non plus... J'entendis un chat qui miauler, je crois même qu'il ma lâcher le visage. Je remarque après un moment que je suis tombé dans une poubelle. J'étais fatigué et je m'en ficher un peu de tout façon, les déchets même bien eux, ils m'accepte dans leurs communautés de merde. Je ferma mes yeux une nouvelle fois et m'endormir dans la poubelle.
Je ne sais pas combien de temps j'ai dormi mais je sais que je me suis réveillé à cause de voix mais je n'arrive pas à bouger et j'étais affreusement fatigué, j'étais coucher sur un lit puis une nouvelle fois plus rien. Je me réveille à nouveau car il y avait encore des voix près de moi et comme la dernière fois je peux rien faire apart me rendormi et c'est ce que je fit !... Puis encore une fois mais cette fois-ci j'étais assise et on me déplace. Où ? Je ne savais pas mais mes yeux ce ferma tout seul.

J'entendis un long bruit sourd qui ressemble à un bip. J'entendais aussi des gens paniquer autour de moi.

Jusqu'à ce que je me réveille en sueurs criant "non, pitié" en me levant brusquement du lit ou j'étais. J'étais assis sur un lit mais ce n'était aucunement un lit d'hôpital. Je me fit interrompre dans mes pensé par 2 homme qui me calmer. Un médecin et... Royaume-Uni...

Fin du chapitre 10
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Avant dernier chapitre ou dernier car seul vous pourrez réellement choisir la fin. Si quelqu'un le sens, je sais que je ne suis pas la meilleure écrivaine mais je verrai bien !

Bref, bonne journée ou soirée !

Le vrai amour (France x Uk)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant