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De retour chez moi, je me précipite sur mon pc et ouvre ma boîte mail. Je télécharge le dossier et l’ouvre. Il y a des dizaines et des dizaines de vidéos et de photos où elle est dans toutes les positions et situations imaginables. Il y a même une vidéo où elle se fait prendre par quatre mecs. Double pénétration, double bite dans la bouche (comment diable peut-elle en caler deux dans une si petite bouche ??), arrosée de sperme, dans le cul, la chatte, la bouche... Bordel, je vais la regarder différemment à présent ! Je transfère le tout sur une clé usb et la met dans ma poche. Je décide d’attaquer dès le lendemain.
Arrivé au travail, je fais mine de prendre du retard dans mon boulot histoire de justifier le fait que je doive rester plus tard. Le dernier de mes collègues part et je me retrouve alors seul dans l’open-space. Jenny est dans son bureau. J’ouvre alors un mail où je ne mets rien d’autres que quelques unes des photos d’elle que j’ai en ma possession, dont celle qu’elle a prise depuis le bureau où elle est en ce moment même, puis je clique sur envoyer.
Et j’attends.
Soudain, sa porte s’ouvre brusquement. Elle reste dans l’encadrement à me fixer, l’air quelque peu perturbé. Je relève négligemment la tête de mon écran et dit :
— Oui ? Un souci Jenny ?
— Dans mon bureau, tout de suite ! Me crie-t-elle en continuant à me fixer.
Je me lève et me dirige d’un pas tranquille vers son bureau, je la frôle en rentrant, sans même la regarder alors qu’elle-même ne me lâche pas du regard. Avant de refermer la porte, elle s’assure que l’open-space soit vide, puis revient s’asseoir, toujours en me fixant.
— C’est cet enfoiré de Julien qui t’a filé ces photos, c’est ça ? Me demande-t-elle l’air faussement calme.
En guise de réponse, je lui adresse un grand sourire.
— D’où tu le connais ?
— Oh, c’est un vieux pote de l’époque du lycée, on s’est recroisé totalement par hasard le jour où il est venu ici et que vous vous êtes engueulés.
— Quelle coïncidence !! Et il t’a dit quoi d’autres ?
— De vieux souvenirs du lycée et...
Elle me coupe alors net :
— Me prend pas pour une conne, je m’en tape de vos souvenirs de lycée, il t’a dit quoi sur moi ??
Je fais en sorte de rester calme, même si je bous d’excitation intérieurement.
— Ben disons que tu caches bien ton jeu Jenny. Et je veux aussi te dire que tu es très photogénique et que tu passes très bien en vidéo !
Ça se voit qu’elle aussi fulmine intérieurement, mais de rage cette fois !
— Écoute-moi bien petit merdeux, je sais pas quelle idée vous avez derrière la tête tous les deux mais crois-moi, je suis pas le genre de personnes à qui on la fait à l’envers donc...
Cette fois-ci, c’est moi qui la coupe.
— Oh, et il m’a aussi donné les coordonnées de tes parents !
Elle s’arrête net. J’ai touché la corde sensible et ça se voit, même si elle tente de garder son calme. Elle se penche lentement vers moi, appuyant ses mains sur son bureau comme si elle était prête à bondir pour me sauter à la gorge.
— Tu leur as envoyé quelque chose ? Me demande-t-elle en me fixant cette fois-ci d’un regard noir.
— Non, du moins pas encore.
