Chapitre 4 : Temps écoulé.

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Mes méninges tournaient rapidement.

Qu'est ce que ça pouvait bien être? Une lampe? Non. Je levai la tête et regarda autour de moi. J'eu vaguement l'impression que quelque chose manquait à ce décor sombre, et que ce quelque chose était la réponse à la question du Sphinx. J'entendais d'ici les oreilles de Klaus fumer: il devait se creuser les méninges bien fort pour que je l'entende d'ici. Le temps passa, et nous ne trouvions toujours pas. Au bout d'un moment, nous entendîmes un sifflement perçant qui me fit sursauter. C'était le sphinx.

"Le temps est écoulé." , chantonna-t-il.

Et donc? Il se passe quoi là?

"La réponse était le soleil..."

Mais bien sûr! l est là à l'aube, et les vampires sans bagues meurent devant lui ! Et je survis sans bague, parce qu'il n'y avait pas de soleil! Comment ai-je pu être aussi idiote et ignorer ce fait?

Je vis Klaus serrer les poings et lever les yeux au ciel.

"Mais... Vous n'avez pas deviné à temps... Donc, une petite correction vous est réservée..." , continua le Sphinx, un sourire affreux sur le visage. "Bonne chance..."

 Comment un si joli animal pouvait-il sourire ainsi? Et comment pouvait-il simplement parler?! Sans même avoir le temps de dire vampire, nous nous sentions attirés vers le haut comme un aimant.

J'essayais de remettre les pieds sur terre mais en vain. C'était impossible. Nous nous élevions dans les airs, observant le paysage, vu qu'on savait qu'on ne pouvait rien y faire, qu'on y était condamnés pour une raison que l'on ignorait. Nous commençâmes à perdre de l'attitude et à arriver devant une maison sombre. Je poussai un petit cri quand je remarquai le soleil qui me brulait la peau. Entrant avec vitesse à l'intérieur, je remerciai malgré moi le propriétaire de cette maison d'être mort pour une quelconque raison, sinon j'aurais finie brûlée. Sérieusement? Rester dans une salle était notre punition? Un courant d'air passa derrière nous. Puis repassa. Nous avançâmes prudemment. Je ne voyais rien mais, grâce à ses dons de vampire améliorés grâce au temps, Klaus arrivait à distinguer les formes.

Au moment où je distinguai avec hésitation une crinière blonde, le Mikaelson s'approcha rapidement de moi et me tenu par la taille. Quel... changement? Je rougis puis lui tapai derrière la tête, avant de lui demander pourquoi il avait fait ça mais c'est là que j'aperçu la réponse devant nous. 1 mètre 73 de glamour, des cheveux blonds, des yeux bleus, et une bouche pulpeuse. Aucun doute. Caroline Forbes était devant nous.

Je suis vraiment désolée si les chapitres sont de plus en plus courts, mais à partir du dixième chapitre, cela changera <3 Merci pour vos vues, vos commentaires et vos votes, ça me fait vraiment plaisir, je sais que je ne suis pas une écrivaine hors-pair, mais merci :) 

Je vous adore,

-sleepygreys

I turned her [k.m]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant