Chapitre 20

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Deux semaines qu'ils étaient à Aerugo, et rien ne semblait avancer au niveau des dignitaires. Les quatre hommes et la secrétaire passaient leur temps à manger, discuter de leur vie ou encore jouer à diverse jeux de cartes mais aucun avancement sur le traiter. Comme si cette situation les amuser ! Edward qui c'était vite lasser de passer un temps considérable à surveiller cette fichu porte, consacrer ses mâtiner de surveillance à lire les ouvrages qu'il avait acheter ou emprunter à la bibliothèque sous le regard amuser et habituer de ses camarades. Même les militaires de Aerugo commençaient à connaitre les petites manies de notre alchimiste de génie. Sans oublier cette serveuse qui désormais préparer une pleine assiette de biscuit pour eux en plus des dignitaires. Les après midi étaient plus animer, Roy avait finit par demander à Havoc et Breda de maintenir Edward en forme, faisant quelques combat amicaux ou se mélanger combat à main nu et alchimie, même si Edward éviter de trop l'utiliser, et il y avait Amstrong qui de temps en temps se sentait d'humeur pour une petit entrainement, réaliser à l'écart des regards indiscret pour plus de sécurité. Qui sais ce qui pourrait arriver en cas d'attaque si les protagoniste connaissaient leur manière de faire.

En sommes les journées se suivaient et se ressemblaient depuis deux semaines. Mais pour les soirée ? Edward et les autres avaient vite prit cette habitude d'attendre le trio Mustang-Hawkeye-Hugues pour manger tous ensemble (ou presque) après quoi les plus courageux discuter ensemble, passant la soirée dans une bonne ambiance et les autres aller se coucher. Edward était de ceux-là, montant se coucher au alentour de vingt-deux heure trente, à peine le repas finit, pour se doucher et s'enfoncer entres les couvertures, un livre à la main attendant patiemment que Roy vienne le rejoindre. L'homme arriver souvent une vingtaine de minutes après, filant prendre une douche rapide avant de rejoindre Edward dans le lit, partageant de tendre baiser, caresse et bien d'autres chose encore.

A cette instant, Edward était justement en train de subir de tendre caresse de la part de son amant et supérieur.

-Roy, tu penses qu'ils vont réaliser qu'ils sont là pour signer un traiter à un moment ? interrogea Edward entre deux halètement.

Il y a quelques semaines encore ce genre de situation le gêner, amusant grandement Roy de cette timidité, mais désormais, même si le jeune alchimiste était encore un peu embarrasser il avait pris l'habitude de certaine chose et voir Roy pencher sur lui en lui embrassant le torse tandis que sa main s'activer dans de douce caresse sur son membres en faisant parti.

-On es obliger de parler boulot ? interrogea Mustang en se redressant pour fixer Edward.

Le jeune homme soupira avant de laisser son regard se perdre dans celui de Roy pour le faire dévier contre le mur à côté de lui. Bien sur que non, ils n'étaient pas obliger de parler, mais Edward espérait qu'ainsi personne ne se rendraient compte de se qu'il se passait dans cette chambre, Hugues dormait juste à côté, les murs avaient beau être épais on était jamais trop prudent. Roy du suivre le cheminement de penser du blond puisqu'il se pencha plus franchement sur lui, mettant son visage à sa hauteur avant de lui murmurer.

-Je vois. Faisons en sorte qu'il n'entende rien alors, murmura Roy avec un sourire assurer.

D'un douce caresse il fit tourner la tête d'Edward, se faisant désormais face avant de sceller leur lèvres dans un baiser tendre puis plus bestiales car le grader recommença ses caresses sur le membre d'Edward. Le jeune homme lui mordu à plusieurs reprise la lèvres, retenant ses gémissement au maximum tandis que son sexe pulser entre les doigts agile de l'alchimiste de flamme. Quelques fois Edward s'en voulait d'être le seul à profiter de se genre de caresse mais il devait se l'avouer à lui-même il n'était pas encore prêt à les faire « subir » à Roy. Il avait déjà frôler le membre de son supérieur, s'étonnant de se contact étrange au première abord et du soupire qui c'était alors échapper des lèvres du brun mais rien de plus.

Discutions sous la couetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant