Chapitre 18

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Salam aleykum,






















































Bonne lecture 🤍






































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Il s'approcha un petit peu tandis qu'elle ses larmes longeait ses joues.

Yakout: Yazid, hayati...je suis là...je suis pas morte....

Il n'en crut pas ses oreilles.

Il s'approcha encore d'elle juste pour être sur. Puis elle reparla.

Yakout: Omri

Elle éclata en sanglots tandis que lui la prit dans ses bras, il enterra sa tête dans son cou. Il sentait son odeur et ses yeux étaient embués.

Il ne savait pas pourquoi mais le fait qu'elle soit pas morte ne lui apportait pas l'effet attendu. Lui qui espérait toujours que ces années passées ne soit qu'un cauchemar.

Certes Yakout n'est pas morte et elle est la devant lui mais un retour à la réalité le frappa.

Quelques chose de brutal le prit, en ayant sa femme dans ses bras, sa bien aimé et celle pour qui il a fait goûter le plus pire à celle qu'il considérait comme sa meurtrière.

Il sentait quelque chose qui le brûlait, un poids sur son Coeur, un poids encore plus lourd que de cacher la mort de Yakout a Yanis.

Quelques chose qui le ronger, quelque chose qui ne lui laissait même pas le pouvoir de se sentir léger et apaiser en ayant retrouvé sa femme.

Il n'arrivait pas à le distinguer, plutôt il ne voulait pas. Son Coeur et sa raison lui crier de l'admettre mais s tête non.

Il ne veut pas assumer ses tord et il n'a jamais voulu les assumer ni s'excuser pour tout le mal qu'il lui a fait. Sauf que maintenant c'est la culpabilité et le regret qui le ronge sévèrement.

Il se décolla de Yakout avec un visage neutre puis il souria malgré lui.

Yanis qui s'est approché et qui l'a reconnu, tout le monde lui parler d'elle et tout lui monde lui disait qu'il allait la revoir un jour. Maintenant devant lui il couru jusqu'au niveau de ses genoux.

En le voyant son Coeur s'echappa puis les larmes coulèrent de plus belles. Elle le porta en l'envahissant de baisers.

Yanis qui pleurait et Yakout aussi.

Yazid qui voyait ça et qui n'arrivait pas à croire qu'enfin sa vie redeviendra comme avant, ou presque... Il s'approcha lui aussi en les enlaçant à son tour

Tout ce film se déroulait devant ses yeux mais elle ne pouvait rien dire et rien faire. Elle s'est souvenu du premier jour dans cette prison.

Lorsqu'elle a prit leur photo familiale, celle qui les réunissait. Depuis ce jour elle se sentait de trop, depuis ce jour elle savait qu'elle était cette vipère qui a tout empoisonné par sa poisse.

Assya - Hurya Où les histoires vivent. Découvrez maintenant