Elles qui me touche de leur fin doigts
Elles qui me touche de leur fine lames
Tranchantes, luisantes et étincelante
Elles brillent sous cette lune rougeJe les ai tenter minte et minte fois
Ces demon s'alliant sous la lueur des flamme
Avec ses seule penser , meurtrière et dévastatrice.
Celle qui m'ont hanté et celle qui me haïsse.
Celle qui veulent me mettre à terre et celle qui me trahisseElle me pourchasse et ne me laisse pas c'est cette douleur qui envahit mon cœur qui l'étouffe, qui le nois.
Malgré cela il y a d'autre auteur ,
Qui crée mes plus grandes peur .
Ce sont des gens comme vous , qui ne peuvent m'aider,
Comme vous qui ne voulez pas m'épargner .Merde , je pense être comme toi ,
Je le sais aux font de moi ,
nous nous ressemblons ,Sur ces lac de terreur nous nous promenons ensemble.
malgré qu'une lueur d'horreur,
Ne se balade que dans tes yeux en cette heure.Vous m'entourer et vous me piéger
j'ai alors chercher une échappatoire ,
à ce dilemme qui m'envoiyais à l'abattoir.je le sais c'est trop égoïste , mais qui lui résiste ? Elle cache mes yeux, m'enlace et me montre ces pieux , puis plante sont regard dans le miens elle menace et cache ,
Ceux qui contrairement à moi , persiste, continue à se battre et ne lâche rien , ils se débrouillent, s'accrochent à la vie qui maintenant ne peut plus rien m'offrir. Ils ferment les yeux pour ne pas voir ce que je vois au plus profond d'eux, ce mal qui les ronge et qui se manifestent pire que le mien.
Je t'emmerde petite hypocrisie, qui
cache ces cœur plein d'agonie.
Desoler , je ne peux les réprimer ces saletés de penser, que j'exprime sans retenue, en me mettant à nue.Voici d'où vient mon inspiration lors des moment de solitude,qui viennent comme d'habitude . A ces heures tardive , à l'aurore ou à midi .
J'ai un cœur qui s'embrase ,
un cœur qui arrive à son échéance ,
un cœur s'évanouissant,
un cœur qui finit en cendre .J'ai une tête emplie de désir,
celui des plus funèbre ,
qu'un malheur ne puisse abattre , qu'un malheur ne fait qu'accroître, sous ce tonnerre de ténèbres .Alors, lumière éteinte, noir complet.
Entre rire des banal journée,
Rire moqueur et rire ironique.Satyre d'une vie que personne ne semble voir. Maquillage sur le visage , tous acteur d'une vie mais pas de la sienne .
Il faut enclencher ses engrenage ,
Déclencher le mécanisme,
le temps qui s'arrête mais qui ne veut repartir ,Elles souhaite me faire voir tout ces gens qui devant moi n'apparaisse que comme des clones, copier tous pareil, si futile. Je vous détrône !
Détrompez vous, je suis unique,
dans cette seule douleur que je ne peut cacher, dans cette douleur que je suis seul a ne pas renier,Voilà ce qui me différencie, de votre esprit disant être en harmonie .
Infirmière des têtes, infirmière des cœur. Une seule euthanasie, ne pourrais me détruire .Je le ressent malgré tout cela .
Ce mal qui ce concentre aux font de mes entrailles .Alors que personne n'essaie, de venir à ces funérailles.
Car cette personne qui fais tant de mal, ce n'est pas moi mais une folie fatal, qui ne cesse de s'accroître et de détruire, tout ce que je me suis efforcée de construire, je constate que la seule force de mon âme,
N'est pas aussi forte que ce Démon de flammeIcare_machin_chose
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Ébauche A Promouvoir
Ficção GeralLe titre décrit parfaitement ce qui ce trouve ici ! Ce ne sont que des os