Un livre qui parle de creepypasta er de phénomène paranormaux

Vivre près de la forêt du Rake ( creepypasta)

 Tout à commencer quand moi Elisa Johns je fessait des recherches sur une grande créature tel que le Rake, je reconnais que avant que tout ça se passe je me disait que ce n'était qu'une légende ou une creepypasta mais je l'ai vue chez mes grands-parents: dans l'article que j'avais lu le reste des phrases je vais vous les lires

-" Durant l'été 2003, des évènements au nord des Etats-Unis concernant une étrange créature, humanoïde ont attiré l'attention des médias locaux avant qu'un blackout frappe l'affaire. Peu ou pas d'informations ont subsisté, car la plupart des comptes en ligne et écrits sur la créature ont été mystérieusement détruits.

Initialement dans le secteur rural de New York, de soi-disant témoins ont parlé de leur rencontre avec une créature d'origine inconnue. Les émotions constatées vont du traumatisme psychologique grave à une simple curiosité innocente et enfantine. Bien qu'il ne soit plus possible de retrouver d'enregistrement de leur version des faits, leurs souvenirs restent clairs. Quelques-uns d'entre eux ont commencé à chercher des réponses cette année.Début 2006, leur collaboration a permis d'accumuler près de deux douzaines de documents datés entre le XIIème siècle et nos jours, sur 4 continents. Dans presque tous les cas, les histoires étaient identiques. J'ai été en contact avec un des membres de ce groupe et j'ai pu soutirer quelques extraits de ces recueils. "

Oui ça s'emble être fou de lire ou entendre sa mais c'est vraie bon je ne vais pas plus loin dans ma lecture car c'est beaucoup trop lourd à lire ceci, un jour mes parents avaient décidaient de déménager de notre grande et merveilleuse ville du Texas pour une vie avec le droit d'avorter sans être juger par les pro-life.  depuis on vie dans Brookline j'étais comme une enfant de six ans à regarder toute ses grandes maison  mais une maison me fessait frissonner d'envie d'habiter dedans.

C'était une maison en bois pas très grande mais suffisamment grande pour ma famille, elle a des couleurs plutôt pastel comme un bleu pastel avec une touche de violet pastel pour mes yeux un vraie régale de couleur douce. Il y a aussi une forêt qui devenait très sombre la nuit.

Elisa:- Maman ?

Mère d'Elisa:- oui ma puce ?

Elisa:- elle est magnifique la forêt non ?

Mère d'Elisa:- oui le jour 

Père d'Elisa:- à table les deux femmes de ma vie

Après cette courte discussion avec ma mère je suis directement aller manger  les paupiettes de veaux que mon père savais faire car il est français,  j'adore la cuisine française seul un truc que j'aime le moins c'est la cuisine Américaine bref c'est du hors sujet sur mon histoire mais il y a trois mois je suis tombée sur une lettre de l'anciens propriétaire de ce lieux cette lettre est remplie de chose que j'hésite à vous lire dans cette audio mais je vais vous la lire. c'est une note de......de bon je vais dire une lettre d'un dernier adieux c'est mots sont:

"-  Note de suicide : 1964

Alors que je m'apprête à mettre fin à mes jours, je sens que je dois me décharger de ma souffrance et ma culpabilité envers cet acte. Ce n'est la faute de personne d'autre que lui. Une fois, je me suis levé et j'ai senti sa présence. À un autre réveil, j'ai vu sa forme. À un autre, j'entendais sa voix, et j'ai regardé dans ses yeux. Je ne dors plus sans peur de ce qui pourrait advenir. Je n'en dors plus. Adieu.

Trouvé dans la même boite en bois, deux enveloppes adressées à William et Rose, et une lettre personnelle sans enveloppe.

'Ma chère Linnie,

J'ai prié pour toi. Il a dit ton nom.'

Un article de journal (traduit de l'espagnol) : 1880

J'ai fait face à la chose la plus terrifiante. La plus terrifiante du monde. J'ai connu la plus terrifiante des expériences. Je vois ses yeux quand je ferme les miens. Ils sont phosphorescents. Noirs. Ils me voient et me transpercent. Sa main mouillée. Je ne dormirai plus. Sa voix (texte suivant illisible).