Chapitre 2

1.1K 20 3
                                    

Point de vu de Mattéo


Suite 566, 4 Septembre. Hôtel Baglio villa Sicilia, 6h20.

Je ne dors jamais beaucoup, ou du moins, je ne dors pas sur mes deux oreilles. Je peux paraître parano, mais, en entrant dans la Mafia ou même en venant au monde et en étant issu d'une famille de Mafieux, on est toujours obliger de garder un œil ouvert pour notre propre sécurité.

Je suis rentré à l'hôtel avec mon père vers les 2hdu matin. Le chauffeur de mon père avait conduis d'une part en direction de la villa de Don Mariani avant de nous reconduire en direction de l'hôtel.
Louka et Nino c'étaient charger d'en finir avec Casari. J'entend encore ses cris résonner dans ma tête, ses hurlements à la mort, dès le moment ou mes gars avaient commencer à le découper encore vivant. Ils devaient ensuite ce charger de faire disparaître les parties du corps. Casari n'avait eu que ce qu'il méritait. Il ne fallait pas trahir sa famille sous peine de risquer la mort.
Je me lève du lit et me dirige vers la salle de bain pour prendre une bonne douche. Notre Jet ne décollait que d'ici 8h.Il me restait donc par mal de temps, les gars devaient surement m'attendre en bas au bar. Eux aussi avaient droit à une chambre, mais il ne faut pas croire qu'ils ont une suite comme mes parents ou moi. Il est hors de question de ça, c'est pas que les suites coûtent cher, enfin si, mais pas pour nous vu que l'hôtel appartient aux Mariani. C'est simplement une question de principe, ce sont des soldats, donc ils ont droit qu'au minimum. Il faut qu'ils s'estiment heureux, ils ont quant même une chambre pour 4. Généralement, une petite partie des sbires, tout comme moi. Nino et Louka avaient de la chance car ils avaient une chambre pour tout les deux. Je suis quant même un gars assez sympa avec mes deux gars sur. Je suis tellement content de les avoir à mes côté. Sans eux, je ne sais pas ce que je ferais.
J'enfile des vêtements propres une fois sortie de la douche. Une des femmes de ménage allait passer pour faire le lit et le ménage. Je sort de la suite pour descendre au bar, sachant très bien que je trouverais mes potes et je ne me suis pas tromper. Ils étaient déjà en train de boire. Je pose mes bras sur la banque et commande un Expresso avant de tourner la tête vers mes amis qui avaient une sale tête.


Moi :Vous êtes rentrer à quelle heure, pour avoir cette tête ?

Nino :3h du mat'. Mais c'est pas ça. Après ton père nous a demander de prendre la relève dehors... Pour surveiller si tout aller bien...

Louka : On ne s'est même pas coucher, là...

Moi :Allez-y. Vous le méritez... Je dirais 2 mots à mon père, à ce sujet... Mais, n'oubliez pas que le Jet est à 8h... Dès qu'on débarque vous allez à la Santa Barbara, vous passez en revu toutes les potentielles futures recrue. On a pas de temps à perdre, il faut qu'on recrute pour compléter notre manque de personnel... Vous me faites un tris. Prenez ceux qui semblent les meilleurs. On leur fera passer des tests avant de les prendre.


Louka et Nino acquiesce avant de finir leur verre, car oui, ça picole dès6h du matin souvent, avant de ce rendre dans leur chambre je suppose, afin qu'ils puissent quant même dormir un peut.

Je souffle doucement, en finissant mon Expresso avant de sortir un peut pour prendre l'air et voir les voitures nombreuses voitures de luxe arriver et repartir avec les clients.
J'ai pas demander à mes deux acolytes, ce qu'ils avaient fait du corps de Casari. Il faut dire qu'après avoir tuer, il y a tellement d'options pour ce débarrasser d'un corps, que je me demande ce qu'ils en ont fait.
Je finis par me retourner et rentrer de nouveau dans l'hôtel quant j'entend la voix de mon père sortir de l'ascenseur. Ma mère était à son bras, comme toujours, ma mère était impeccablement maquiller, pas une seule trace de cerne, ou même de rides. Celle cime prend dans ses bras pour me dire bonjour, quant j'arrive à leur auteur et mon père me donne un simple signe de la tête que je lui rend sans rien dire. Tout comme hier, nous nous dirigions vers la grande salle, qui faisait restaurant le midi et le soir, pour pouvoir prendre notre petit déjeuner. Il faisait assez beau aujourd'hui, comme très souvent, même alors qu'on approchait tout doucement de l'Automne. Notre table ce situer dehors sous un parasol, le petit-déjeuner était déjà déposer sur la table, nous avions une très belle vue sur la mer, dont les vagues venaient s'échouaient sur la plage. Si nous avions eu le temps, j'aurais bien voulu aller piquer une tête, même si en Calabre, nous avons nous aussi la plage. D'ailleurs en y pensant, ça fait tellement longtemps, que je ne suis pas aller dans l'eau, il faut dire que nous avons beaucoup de boulot et l'histoire avec les Russes en rajoute encore plus.

Mariée à un MafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant