Chapitre 85

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Brésil, villa de NeymarPoint de vue Aleyna

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Brésil, villa de Neymar
Point de vue Aleyna

Carol: tout va bien se passer t'inquiète pas

Moi: ça se trouve il a déjà tourné la page. Plus d'une semaine il ne m'a même pas écrit. Oh mon Dieu qu'est-ce que je suis en train de faire

Carol: eh eh eh eh calme toi Aleyna, calme toi. Inspire, expire, arrête d'autant stresser

Moi: je crois que je vais une crise de panique

Carol: nan chérie ça c'est dans ta tête.

Moi: j'ai peur, je serais pas capable. Je sais que je vais buguer devant lui

Carol: t'as pas fait des milliers de kilomètres pour lui pour te défiler devant sa porte

Moi: toque avant que je regrette

Je n'ai même pas le temps de finir ma phrase qu'elle a déjà toqué

Moi: quoi nan pas maintenant

Carol: * en haussant les épaules * faut savoir

Quelques secondes plus tard je vois la porte s'ouvrir sur Rafa. Elle était très surprise de nous voir.

Rafa: Carol ! Aleyna, entré entré

Carol: désolé on n'a pas prévenu de notre arrivée on voulait faire la surprise.

Rafa: pour une surprise s'en est une.

La musique retentissait, je pouvais entendre de loin que la maison était remplie.

Rafa: je comprends plus rien Aleyna qu'est-ce que tu fais là

Moi: heu... je suis venue voir ton frère

Rafa: vous êtes toujours ensemble ?

Moi: oui enfin je crois

Rafa: ooooook, suis moi il est dans le jardin. Ils font un tournoi de volley-ball. Lui et sa partenaire sont imbattables on dirait qu'ils ont fait ça toute leur vie.

On arrive dans le salon et mes pensées se confirment bien quand je vois la pièce remplie de fille et d'homme en tenue très légère.

Rafa: les gars je vous présente Carol et Aleyna des amis à Ney

Ils nous tendent tous un geste pour nous saluer. Je baisse légèrement la tête. Je me tourne vers Carol pour lui faire comprendre que j'étais extrêmement mal à l'aise. Pour me rassurer elle me caresse le bras.

Rafa: il est dans le jardin venait

Moi: juste avant on peut passer aux toilettes s'il te plaît.

Rafa: oui bien sur tu connais fait comme chez toi

Moi: hum, merci

Carol me lance un regard de désespoir et me suis jusqu'aux toilettes

Carol: on était à ça d'y être. T'abuse franchement

Le contrat // kylian MbappéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant