Chapitre 1: Un Jour Bien Sombre...

41 1 0
                                    

Quand l'annonce tomba, le ciel se mit à pleurer. La cour était veuve, les nobles perdus et l'équilibre du monde anéanti. Le roi venait de mourir et ses derniers mots étaient sans équivoque

- Mes amis ne pleuraient pas ma mort, pleurer le monde. Quand mes derniers mots tomberont, ce n'est pas ma mort qu'il faudra retenir mais celle du monde.

Le titre du " roi du monde " ne lui avait été donné que pour deux chose, c'était l'un des mages les plus puissants mais surtout le plus influents du royaume. Et ce royaume n'était pas une simple couronne , c'était la nation de la sécurité. Cette nation n'en été pas réellement une, c'était plutôt une armée de mage et de soldats quelconque, plus ou moins puissants. Qui composé une coalition pour garantir la paix.

Le peuple de Rone se douta immédiatement de quelque chose, les plus grands mages du monde ou enfin de la coalition étaient entrain de débarquer. Ce défilé n'était qu'une parade sinistre, certains citadins avaient déjà compris cela. Un minuscule groupe qui avait prêter allégeance au roi se positionnèrent, il n'avait pas encore eu la nouvelle mais il l'avait compris. Agenouillés devant le château, regardant les grilles de celui qu'ils adulèrent. La tête haute, un jeune homme qui n'avait même pas la majorité se promis ce jour là qu'il deviendrait lui même roi. Devenir roi pour lui était le seul moyen de venger celui qu'il vénérer. Cette pensée de vengeance n'était présente que depuis la rentrer du roi dans son palais. C'était un des membres du groupe qu'il l'avait informé de l'attaque qui avait eu lieu à l'encontre de celui-ci. Selon les rumeurs ils n'étaient que 5 à l'attaquer. Un chiffre minuscule alors que le roi avait dans sa jeunesse combattu des armées entière contenant des milliers d'hommes. La puissance des 5 opposant devaient être phénoménale. Le jeune homme y repensa puis se leva en même temps que ses camarades, et l'un d'eux qui était à côté de lui, lui adressa la parole

- Il pleut nous devrions rentrer, allez viens Valdan.

Valdan alors se mire lui aussi à pleurer

- Tu as raison, il pleut, rentrons.

Et ils repartirent la tête haute, les larmes à terre. En repensant à ce jour, où il avait rejoins le groupe. Pendant ce temps là, les plus anciens du groupe repensaient au jour où on les avaient laisser prêter allégeance au roi. C'était pour eux un moment inoubliable, pouvoir servir le peuple mais surtout le souverain était tout simplement fabuleux.

Quelques heures avant, dans un château environnant la capitale, un noble d'à peine 15 ans venait d'apprendre la nouvelle. Son père, un mage extraordinaire été mort dans la bataille. Ce jeune homme contrairement à son père été un noble que la vie avait gâté. Il n'avait jamais utilisé une arme et n'avait jamais dû utiliser la magie. Son père avait pourtant essayer de l'initier mais son éducation c'était faite par les nobles de la cour. Quelques secondes après la nouvelle, une lettre lui était remis.

<< Fils j'aurais voulu parfaire ton éducation selon mes attentes, cependant tu es devenu ce que je craignais le plus. J'ai donc décider de te déshériter, à partir de maintenant tu devras te faire seul. Si tout de même tu deviens ce que je voulais que tu sois, mon véritable héritage sera tien. >>

Après avoir lu ses mots, Louis De Tournemire n'en revenait pas. Lui qui pensait être de la haute société aller sûrement devoir descendre en bas. Il eu une idée, si il demandait de l'argent à la cour, les courtisans l'aideraient sûrement . Son idée grotesque n'allait le faire chuter que plus bas.

Au même moment, un événement inattendu aller se produire. Dans un pays lointain, au travers de montagne et de forêt. A l'intérieur d'une caverne se trouver un vieille homme. Qui allait sûrement changer le monde à tout jamais. Il venait d'interrompre sa médiation qui avait durer plus de 3 ans. L'homme âgé sorti de la caverne, et le soleil lui anéantissait la rétine. Cela faisait déjà un moment que la lumière du soleil lui était devenue inhabituel. Il décida donc de se préparer pour entreprendre le voyage qu'il attendait temps. Tout était réunis pour qu'il puisse le faire dans les meilleurs conditions possibles. Le vieille homme commença donc à entreprendre son voyage.

A des milliers de kilomètres, dans un pays réputé pour ses exploitations, la nouvelle se rependit. Le roi était mort, un jeune esclave qui répondait au nom de kaiho sha venait d'entendre la nouvelle. Cependant cette nouvelle était pour lui inintéressante, même avec cela il devait quand même travailler et se tuer à la tâche. Cela faisait déjà 10 ans qu'il était devenue esclave. Son corps était totalement déchiqueté, la cause était le fouet. Il essayait donc de faire de son maximum pour ne pas en prendre pourtant son corps était maintenant résistant à cette forme de torture.
Ce misérable ne rêvait que d'une chose, la liberté, quel que soit le moyen il se l'étais promis il deviendrait libre.

Sous cette terre se trouvée un endroit fait de misère et de flamme. Cette terre s'appelle Khonsou , elle abrite un type d'humain que les hommes d'en haut appelle Otoru. Quand aux Otoru ils appellent les hommes qui habitent sur la terre les antei. Nyx, une femme du bas était réputé pour sa puissance et sa sévérité. En bas elle n'était qu'une des vices commandants de l'armée des Koo. Koo était une province souterraine qui était sûrement l'une des plus puissantes de la terre souterraine. Des combats avaits souvent lieux dans ce royaume, Nyx était souvent une des premières à y participer, et se fut le cas aussi pour ce tournois.

A ce même moment un enfant jouait de façon naïf dans le village de Kéhran. Il s'amusait avec les jouet que ses parents venait de lui offrir. Il s'agissait de petit pantin fait d'un bois modeste, qu'il agitait et faisait combattre. L'enfant jouait à un jeu qu'il lui semblant si agréable qu'il oubliait tout ce qui l'entourait. Ses parents, les chevaux qui passaient devant la maison, les cris des passants tout cela étaient inaudible pour lui à ce moment là. Alors innocemment il continua à jouer. Ses parents apprirent la nouvelle pendant que le petit continuait son divertissement, pour eux la mort du roi ne prévoyait rien de bon. Le village était protégé par la NS ou plutôt la nation de la sécurité. Si le roi était mort alors pendant quelques temps des pilleurs les attaqueraient sûrement ce qui les mettraient en danger eux, leur progéniture et leur économie. La tension alors monta d'un cran pour les villageois

Une trôneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant