Chapitre 2: La Désillusion

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Valdan se leva, prononça quelques mots les larmes s'écoulant sur son visage et pris la route avec le reste du groupe vers leur base. Elle se situer non loin de la capitale pour favoriser l'intervention rapide en cas de menace. Bien qu'ils étaient là plupart du temps envoyés en missions confidentielles et non en intervention rapide. Elles consister en bien des taches mais Valdan n'en avait fait que très peu du fait de son niveau et de son age. Malgrès sa puissance incertaine par rapport aux autres membres de la brigade son niveau été suffisant comparé aux citoyens. Les missions confidentielles à son jeune âge été considérer comme périlleuse. Pour plusieurs raisons, les informations était bien trop secrètes et certains commandants avaient peur que des informations fuites. Son âge aurait pu être contraignant pour le petit dans des missions délicate.
Le groupe se mit à courir vers la base.
Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent tous à la destination.
Valdan rentra dans la base telle un misérable pleurant dans une torpeur totale. L'entrée fut dure mais libératrice simultanément. La mort du roi l'avait considérablement affecté mais avait créé en lui un but immuable. Son objectif était simple, venger le roi et prendre un jour la succession de son poste. Cette objectif était certainement fait de bonté mais cette idée ne lui était à mon avis peu bénévole.

Le jour d'après, à l'aube, il se réveilla avec un élan franc de motivation, son souhait devenir beaucoup plus puissant. Par cette envie il marcha en direction de la salle d'entraînement numéro 5. On pouvait la décrire simplement, une grande salle fait de bois. Son utilité était de pouvoir muscler le corp de celui qui le souhaitait. Il y avait plusieurs exercices mais cette tâche n'était que peu priser pour les mages. Beaucoup pensaient que l'important était la magie au détriment de leur force et de leur forme physique. Valdan quant à lui pensait que les deux était tout aussi intéressant. Et il s'avérait que en combat la force physique pouvait décider de l'issue de celui-ci. Bien évidemment la magie été immensément plus utile. Alors il s'entraînait pendant de longues minutes. Une heure avait passé depuis le début de son entraînement, quand tout à coup un cri de terreur se fit entendre dans toute la base. Valdan alors couru d'un coup vif vers le cri. Il s'avérer que en arrivant il vu un de ses coéquipiers à terre. Gisant le sol le sang coulait à flot. En quelques secondes toute la garnison se tenaient devant le corp. Les seuls absents étaient les trois seconds du commandant.


Pendant ce temps là Louis de tournemire parti vers la cours. Son but était sûrement de trouver un ami à lui qui pourrait l'aider. Il arrive à la cours, le bruit était permanent. Louis était apprécié dans ce genre d'endroit. En arrivant là bas on lui annonça sur le trajet que le roi était mort, il s'attendait alors à un hommage. Mais personne ne s'y intéressés, pour eux le roi n'était rien, il les protégés mais ses petites tête couronnés ne pensaient qu'à s'amuser. Il alla donc voir son ami Jean du château:
- bonjour Jean, cela fait du bien de vous voir. Vous êtes comme à votre habitude tapis dans l'ombre laissant la lumière à autrui alors qu'elle devrait vous appartenir.
-Tu as tout à fait raison, je suis comme cela, je peux obtenir le pouvoir mais je préfère le conférer à d'autre. D'ailleurs je te lègue toutes mes condoléances pour ton père même si il n'était pas comme toi, il t'a créé.
- Merci Jean.
- Je t'en prie, tu es un des seules avec qui je peux impunément discuter. D'autres sont hypocrites, alors qu'avec toi je peux pratiquer le tutoiement. En pensant à cela c'est toi qui me l'a appris ou plutôt ton père. Il n'a été bon que à cela.
- Il n'a pas été un grand homme, il a voulu faire de la guerre son domaine et c'est cela qui l'a tué.
- Tu as raison, ici personne n'aime les guerriers. Ils ne servent à rien, ils ne protègent rien, en conclusion ils sont inutiles. Nous les nobles nous sommes assez puissants pour nous protéger des barbares.
- Vous avez déjà combattu ?
- Non mais ce n'est pas compliqué, je pense même que je n'ai jamais utilisé la magie.
- Vous en êtes sûr ? Vous ne l'avez même jamais utilisé à votre jeune âge ? Ou même pour vous réjouir dans les grands dîner. Je crois me souvenir que dans une de vos histoires que vous me racontiez vous y faisiez référence.
- Oui tu as raison, mais je ne l'utilise pas pour faire la guerre c'est bien trop démodé.
Le vacarme habituel de la cours continuait pendant la discussion vive des deux courtisans:
- Jean votre intelligence est tout en votre honneur et votre clarté l'ai tout autant. Pensez vous qu'il serez possible de m'aider, mon père est mort et ce faible d'esprit ne m'a rien donné. Je me retrouve sans la moindre fortune.
La cours en un éclat devenue parfaitement silencieuse, le calme régnait et Jean répondit alors:
- Comment peux-tu me demander une chose pareille ? Tu es tombé si bas que tu oses me demander quelques choses ? Tu me fais bien glousser !
Alors Jean se mit à rire et toute la cours en fit autant.

Louis était offusqué mais surtout abasourdi, l'homme qui lui avait appris pendant des années ne voulait rien lui donner. Et pire encore il le prenait pour un innommé.
Alors il quitta la cours derrière les rires parasites des courtisans.

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 26, 2022 ⏰

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