Chapitre 42

178 10 0
                                    

05H48


Clairière Fawn


H




Les yeux clos j'ai entendu cette voix familière

- Orson..?..mec réveille toi ça hurge

Le sursaut de Orson m'a fait trembler
Et j'ai eu un haut le cœur en me réveillant
Orson à présent assis a bloquer les couvertures sur ma nudité alors qu'il regardait Joey qui était dos à nous

Il faisait encore nuit mais j'avais l'impression que le soleil ne tarderai plus

- Qu'est-ce que tu fous la ?
- Rhabillez vous il faut qu'on y aille le jet nous attends

Je me suis également redresser, en panique et j'ai demandé

- Pourquoi ? Il se passe quoi Joey ?
- Ouais parle putain
- C'est.. ta mère..


°°°

Quarante-cinq  minutes plus tard nous étions en plein vol et tous stressée

Pendant que Joey était venu nous chercher
On a appris que Angela avait déjà préparer nos affaires et nous attendait dans le jet

D'après ce que Joey avait sut la mère de Orson avait fait un arrêt cardiaque les médecins avaient tout fait pour la ramener et à présent Lala était plongée dans un coma artificiel

Orson n'a plus dit un mot après avoir écouter Joey
Il s'est enfermer dans la chambre qui nous a été attribuée pendant le vol
j'ai quitté les Monk pour le rejoindre

Je suis devant cette porte depuis un bon bout de temps déjà et je ne sais toujours pas si je dois laisser tombé où insisté

Du coup j'ai encore frappé

- Orson s'il te plait mon amour, ouvre.. s'il-te-plaît
- ...........

Son silence ne m'a pas blesser mais me faisait peur je ne voulais pas qu'il s'éloigne à nouveau de moi en se renfermant sur lui-même car je sais que je ne le supporterais pas

Au moment où je m'apprêtais à faire demi tour j'ai entendu le verrou de la porte, je me suis retournée et je l'ai vu apparaître ne portant qu'une serviette autour de sa taille

- Approche

A-t-il murmuré en me tendant sa main
J'ai difficilement déglutit alors que son regard avait l'air vide
Je l'ai accepter et je l'ai laisser me guider dans la chambre puis dans la salle de bain

- Qu'est-ce..
- Chut..

M'a-t-il imposer en plaçant son pouce sur mes lèvres
Il était triste et en colère je crois

Son pouce a fait un cercle sur mes lèvres puis il m'a tendrement embrasser
Mais s'était un leurre
Car ce baisé était brut et avide de désir à la fois

Il a remonter son pull que je portais il l'a lancer dans un coin puis Il a fait glisser les bretelles de ma robe en caressant mes épaules, malaxant mes seins au passage, saisissant mes hanches et ma robe s'est retrouver à mes chevilles exposants ma nudité

Orson m'a porter comme une princesse jusque dans la cabine de douche où
Il m'a lentement déposer sur les carreaux froid et il a ouvert la vanne d'eau
J'ai presque hurlé tant elle était froide

- Orson..
- Je sais mais j'en ai besoin

Je me suis lover contre lui ma joue contre son torse chaud il a enroulé ses bras autour de ma tête et nous avons laisser l'eau froide laver nos peines de

Un délicieux mensonge Où les histoires vivent. Découvrez maintenant