Comment je me décrirai

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Comment je pourrai me décrire ? Je n ose que peu me complimenter je ne le fais qu'avec beaucoup d humours, car j ai peur des jugements que l'ont pourrait me porter dans mon dos, je sais bien que je vie dans la perano mais je ne peux pas faire autrement. Nous avons tous déjà jugée tout ce qui nous entoure ont ne peut pas le nier, moi j ai déjà jugée je juge au quotidien, bien évidement je ne me moque pas je ne critique pas mais ont peut juger par nos premières réactions ou de se poser des questions sur cette personne qui marche comme si, qui s habille comme ça... Un jour une aide soignante m'a dit quelque chose que j ai peut être mal interprêtée certes, que j ai pris comme un jugement négatif, mais elle m avait blessée. Elle m avait dit "t écoute du Céline Dion toi?" Mais au ton de sa voix c était pour moi, de façon "oulaaa mais c est la pire chanteuse omg" et moi ben... C est ma préférée. À présent je n assume plus de montrer mes playlistes, je n assume pas de monter le volume quand j suis à l exterieur j ai peur qu ont entende vaguement une des chansons, et que l ont me fasse un regard. J ai tellement peur des gens du regard des autres envers moi, peur des jugements négatifs, de toujours tout mal prendre leurs paroles, qu ils veulent rire avec moi et que je l intereprête... C est vrai que j ai un vrai don pour vite me braquer, j ai besoin d être rassurer que l on me précise que c est pour rire ou détendre l atmosphére ou quoi sinon j interprête tout. Je suis pas née comme ça je le suis bel et bien devenu, avec les atrocités que l ont m'a rabachée à la gueule dès gamine. Ma mère et d autre gens de ma famille mais surtout ma mère qui me disait : "t'es une pourrie gatée, tes une pute, tes qu une p tite insolante, tes rien, tu vaux rien, p'tite enmerdeuse, p tite salope, grosse merde" ou bien encore "va te faire foutre, tu les mérites ces viols, sale porc, tes qu une merde, une ingratte, tu crois être forte mais tes rien, arrête de rêver reviens dans la vraie vie tu vie sous mon toit tu ne feras rien de ta vie, tu n as rien vécue" et j en passe. En faite elle n a pas tort je mérite ce que je vie sinon pourquoi le vivais-je ? Pourquoi je ne trouve pas de femme qui m aiment pour qui je suis ? Pourquoi on me rejete? Et puis j ai envie de me répondre : "tu n ai pas une merde putain Alice merde! Tu es une jeune femme qui a vécue trop jeune des choses invivable inimaginables, tu ne te rend même pas compte de tout les efforts que t as dû faire pour avancer d oú tu venais! Putain mais laisse toi une chance et du temps, tu es pas parfaite tu as tes défauts tes difficultées tes handicaps mais ça n ai pas ta fautes, putain tu tes faites martyriser à seulement quinze jours tu étais nourrisson! Et puis même il n y a pas a vivre ça peut importe l âge et toi tu l auras vécue. Arrête de minimiser tes souffrances Alice, tu es pas plus bête qu une autre tu as tes souffrances à toi chacun ses chemins chacun ses souffrances. Aime toi arrête de bousiller ton corps tu crois te faire du bien comme ça? Sérieusement là? Tu arrêtes ça c est claire! Putain Alice stop la! Tu... Tes une battante pas tout le monde viens d un passé pareil pas tout le monde a vécue des années de réeducations, tu as perdue un champ de vision à cause de ton géniteur et une audition, tu en est là aujourd hui félicite toi!"

Aujourdhui 30 Septembre Deux mille vingt deux à 00h05 je me décrirai comme une jeune femme qui aura vécue vingt années putain de pas faciles, que j aurai fais des erreurs mais surtout relevée des victoires même si elles étaient minimes. Je dirai que j aurai vécue un véritable film d horreur melamger à du drame au premier plan, mais que cela m'aura faites devenir mature assez rapidement, que grâce à mon passé j ai su rapidement avoir pas mal de reflexion avec moi même. J ai vraiment beaucoup avancer et que les medecins ne pensaient pas qu un jour je verrais la vie car j avais vécue trois longues semaines de coma. Que pour eux je resterai un légume, impossible que je sache marcher et encore moins, lire et écrire. Aujourd hui je cours tout les jours pendant une bonne heure, aujourd hui j écris pour mieux m exprimer et j en ai pris un plaisir qui ce concrétise en un futur travail. Il me reste de longs chemins à travercer encore évidement, pendant ma route je vivrai encore des difficultés je serais encore et toujours les surmonter comme j ai toujours fini par faire. J aimerai me remercier d avoir êtait ce bébé courageux qui a su rouvrir les yeux pendant que les médecins disait à ma famille que j étais morte. J ai comme étais un miracle, venant de moi plus de Dieu surement mais il a veillé sur moi m'a aporté courages et perseverances. Aujourd hui ses qualités je les utilisent chaque matins pour me lever avec le sourire au visage et commencer une nouvelle journée même si, je vie la de sacrer vagues dépressifs, que je suis atteinte de maladies psychologiques qui nr sont vraiment pas évident pour moi. Être devenu suceptible et tout mal interprêter, avoir ls véritable phobie des jugements/regards des un et des autres à mon égard...
Aujourd hui je peux me dire que : je suis à la fois fragile et puissante, à la fois très joyeuse pile éléctrique à la fois vite épuisée émotionellement et très angoissée, à la fois vivante à la fois morte avec juste mon fantôme qui me relève, à la fois courageuse à la fois vite défétiste et me braque très vite (pleures +crise angoissses/anxiétée),à la fois terre à terre à la fois spirituelle ou religieuse, à la fois spontanée à la fois refflechis, à la fois très couleurs à la fois très sombre, à la fois très comique/bon public à la fois effacée m enfoutisme. Je dirai que j aime la vie que je la croque à plaines dents et je la hais tout autent, je m aime mais je me deteste, je veux me faire du biens je me torture, je veux prendre soin de moi je me bousille, je veux aimer je mi prend mal, je donne tout de moi à qui m aporte ses bras, j accepte tout et surtout ce que je ne mérite pas plus qu attraper ce qui est bons pour moi. Je dirai que je me démoralise facilement je me braque j angoisse très facilement pourquoi? Parce que j imagine que ceux qui m entoure me jugent me critique, pouffe de rire ou pétent des câbles, j ai terriblement peur. Je ne veux pas décevoir mais qui je ne veux pas décevoir le plus entre eux et moi même, finalement? Je me dis surtout que c est moi qui me juge fort pas les autres, que c est de mon regard à moi emvers moi que je devrais faire attention pas ceux des autres envers moi. C est moi qui ne suis pas bienveillante envers moi, les autres ne sont que reflets finalement. Quand je me suis confiée à une certaine infirmière j ai eu une sacrée montée d angoisses avent de pouvoir me lancer.

Pour te dire à toi qui me lis,
J ai l impression que certaines présances sont là proches très proches de moi, et leurs regards sont jugents et pesent. J ai du mal à me doucher ou faire mes besoins sans me sentir regarder et juger fortement. J ai toujours eu la mauvaise habitude de toujours tout garder tout contrôler, contrôler mes rlations aux autres, contrôler mes sentiments mes émotions, contrôler mon passé mon présent, du moins j essaye. Mais ont ne peut pas tout contrôler et pas toujours, mais lorsque je n ai plus la mains sur tout je panique j angoisse je perds les pédalles ont m les emlevent alors je crois patoger, me noyer. Finalement n est ce pas plus agréable de porter parfois moins de poids sur sois ? N est ce pas plus agréable de laisser les autres nous aporter leurs aides ? Je me pose toujours des centaines de questions pour tout au lieu de prendre ce que l ont veux bien me donner de positifs. Je vois le mal partout j ai l impression que tout ce que je vie et vais vivre sont des obstacles à franchir des gens à affronter, mais en réalité il y a de véritables personne qui croisent mon chemin pour m aléger mes douleurs. Je crains les gens qui me veulent du bien je refuse les aides je mens aux mauvaises personne je recule vers la guérison, j avance vers le drame le feu et j aporte toute mon attention aux gens qui me veulent du mal.

Après tout ça, je suis toujours là Où les histoires vivent. Découvrez maintenant