Je lui faisais autant d'effets et lui procurais autant de plaisir que ça ?
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PDV him: Je sentais mon orgorki se lever en direction d'elle. Je pris la décision de la réembrasser encore une fois, je lui demandais l'autorisation d'accéder à sa langue, nos langues se mêlèrent et dansèrent ensembles ne faisant qu'une.
A ce même moment où l'on prenait du plaisir chacun profitant de l'autre, quelqu'un nous interpela.
??:"Chaque seconde supplémentaire c'est une heure de colle bougez de là !"
Je me séparai à contre cœur d'elle et je tournai la tête vers la personne qui nous avait interrompu dans notre profond baiser.
C'était un pion, il était obligé d'interrompre ce moment d'intimité avec ma dulcinée ? Toute façon les pions mise à part gâcher les dates et les moments intimes je vois pas ce qu'ils savent faire d'autre.
Des jours avaient passé depuis le jour où j'ai eu la gaule pour Habibi, suite à cela, dû à la gêne, on ne n'était plus vus ni charmés depuis lors.
Mais, vint le voyage à Londres, nous faisions tous les deux la fonction LCE anglais...
Je ne crois pas au Destin, mais nous nous retrouvâmes tous les deux dans la même famille d'accueil, il n'y avait plus de place avec nos amis respectifs.
Comme si le destin voulait nous réunir, comme si nous étions liés...Mais, je vis un garçon qui était dans sa classe, et il était... si proche d'elle... Cela me foutait la rage, surtout quand j'appris qu'il était dans la même famille d'accueil que nous...
Je ressentis alors un dangereux frisson digne d'un mal alpha, (je sais qu'elle adore ça, je l'ai vu sur sa calculatrice. Tout me ramène à elle...) me parcourir la colonne vertébrale, mes poids se resserrèrent et je fis une Castiel... (aka frapper dans quelque chose pour faire redescendre ma colère.)
Je frappai dans le mur se trouvant derrière moi, après ça mon poids droit était en sang, mes phalanges étaient elles aussi ouvertes, et en sang.
Un lapse de temps passa, et nous finîmes par prendre le bus pour pouvoir chacun nous rendre au domicile des personnes qui allaient s'occuper de nous, pendant cette semaine qui je pense va être assez mouvementée et épicée, surtout si par malheur et grand hasard je me retrouve dans sa chambre...
Chaque groupe allant passer ses nuits dans la même famille d'accueil était assis dans la même rangée étant donné que c'était des places de 3.
Ma douce était assise entre cette énergumène et ma très belle personne portant un jean skinny ressemblant à un legging acheté au bled, par ma mère.
Entre nous deux, le choix était vite fait, moi évidemment.Pendant ce trajet long, mais à moitié lourd et agréable, je ne pus m'empêcher de poser une main sur sa cuisse et de la serrer, mais celle ci la virait toujours en me regardant d'un air mauvais.
Et j'essayais de prendre sa main, dans l'espoir qu'elle n'ait pas oublié notre pluie de baiser malgré que l'on se soit faits prendre, mais elle me rejetait, elle était toujours tourné de son coté à lui. Me brisant le cœur.
Malgré ça, je ne pus m'empêcher de ressentir toutes sortes de choses, de la jalousie, de la colère et de l'envie... En plus de ça et le fait qu'elle m'ait brisé le cœur, j'avais la barre... que je tentais tant bien que mal de cacher de mon sac.
Mes hormones me disaient de la prendre, là, tout de suite, devant tout le monde, et surtout de montrer à cet inconnu combien nos corps à elle et moi ne font qu'un... She's mine.
Je suis bilangue, je suis habitué pour le voyage en Angleterre tout va bien.Une fois arrivés à destination, les profs nous répartissèrent chacun dans une famille, tous dans la même rue, par chance, je pourrais vite retrouver mes potes, même si là, y a la potentielle femme et mère de mes enfants, ainsi que mon actuel plan cul mais faut pas le dire, elle peut devenir Mme Marteau.
"Nos parents" nous firent visiter notre logement, et c'est là que j'appris que j'étais dans la même chambre que cet énergumène qui s'appelait Jules Marcus, de son diminutif J-M.
Le soir venu, je rejoignis Habibi dans sa chambre pour commuNIQUER avec elle de mes sentiments. Oui parce que j'aime mon plan cul, et alors ?
Je suis entré dans sa chambre, sans même toquer, pourquoi faire après tout. Nos regards se sont croisés et un frisson me parcourut, celui du pur désir. Je la voulais, pour moi, comme si il n'existerait que nous deux à ce moment précis.
Je m'approchai d'elle, tel un félin voulant capturer sa proie, moi qui voulais lui parler, c'est raté, elle me procure tellement d'envie.
Elle se leva de son lit, en serviette, elle venait sûrement de sortir de sa douche. Ses cheveux et son corps étaient encore mouillés et des gouttes d'eau ruisselaient le long des traits de son visage.
Elle s'approcha à son tour, puis me pris par le colbac, afin de me coucher avec elle sur le lit sur lequel elle devrait dormir pour les nuits à suivre.
Je défis ma ceinture et j'attachai ses poignets au lit avec. Par contre, enlever mon skinny s'avérait être une tache difficile, alors elle m'aida avec ses dents, ce qui l'arracha.
(Fun fact!! c'est suite à une situation telle que celle ci que les jeans skinny furent créés.)Je sortis mon mini-moi de mon caleçon, mais avant que nous puissions entamer quoi que ce soit, la porte s'ouvrit sur ce J-M...
A suivre...
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Coup de foudre pour un marteau... {one shot}
Fanfiction☞︎︎︎ ceci est une œuvre de fiction ☞︎︎︎ âme sensible s'abstenir ☞︎︎︎ on est responsable de ce que l'on écrit et non de ce que vous lisez (lemon) Résumé: Comme quoi les coups de foudre existent réellement, elle qui ne pensait jamais tomber amoureuse...