48 | Pop corn.

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──── Chapitre 48.


  Le wagon dans lequel nous étions entré par effraction semblait très moderne. C'était un wagon seul, sans conducteur qui roulait sur un pont du métro. J'arrivais à retenir tous ces détails, tout en arrivant. Le reste de l'équipe avait quasiment fini son travail, il devait rester qu'une ou deux personne. Une femme en tenue noire moulante débarqua avec fracas dans la véhicule, qui avait sa porte coulissante grande ouverte. Je n'arrivais pas à savoir s'il s'agissait d'une ennemie ou d'une alliée. Mais elle avait reçu des balles dans les jambes. Directement, on lui administra une piqûre, directement sur la plante du pied, et elle semblait déjà avoir retrouver l'usage de ses jambes.
J'éliminai une personne avant de me diriger vers mon interêt principal. Elle était entouré de toute mon équipe, et semblait attendre le même sort que ses alliées.

Je lui dis que je ne contais pas là tuer car elle savait où se trouvait la personne qu'on recherchait et surtout qu'elle avait réussi à s'en occuper.

Je mis un gros chassé dans une personne. Allez savoir qui. Celle qui avait retrouvées ses jambes ?

Le wagon toujours en marche, je faisais les quatre cent pas. Ouvrit la portière. Pris une accroche, au cas où ; mais je ne m'approchais même pas assez du bord. En voyant à quel point mes pieds étaient éloignés, j'essayais de me rapprocher. Le wagon traversait ville de haut. En observant la ville j'avais eu le temps de faire part à mon équipe de ma crise existentielle. Bien sûr, depuis que j'avais ouverte cette porte ils étaient comme attentifs à mes moindres gestes.

On arrivait dans une maison. Le contraste était grand, entre la modernité de notre wagon et cette maison. Alors que toute l'équipe était là à regarder une opération qui se déroulait la cuisine, je leur ordonnais de dégager s'ils n'avaient pas leur aide à fournir. Ils devaient se rendre utile à d'autres choses.
On débarrassa le véhicule. J'avais eu du mal à trouver l'interrupteur de la salle d'entrée.

Mon rêve, se termina avec une histoire de rubik's cube géants. En soit à mon réveille mon rêve ne me perturbait pas plus que ça, je l'avais presque oublié, mais c'est après qu'il m'était revenu. Je n'avais pas compris grand chose, juste que j'avais été une leader stricte mais qui dégageait un certain charisme et qui était pleine crise existentielle. Je ne m'attardais pas trop sur le sens de ce rêve car il n'y en avait pas.

Plus d'une semaine était passée, mes blessures avaient bien cicatrisées, ma période de repos touchait donc bientôt à sa fin. Durant tout ce temps j'avais revu tous mes cours, et pour ne pas rester sans bouger, j'allais souvent courir depuis que j'en avais la permission. Je faisais de longues courses autour du lycée, près des internats et j'avais fini par m'aventurer dans la forêt quelques fois. J'assistais au cours mais je ne participais pas aux entraînements les plus complexe, mais cette semaine j'allais reprendre !

J'étais passée de peu de la mort ou de la paralysie. J'en avais encore les séquelles psychologiques, même si, grâce aux soins qu'on m'avait donné, je me portais maintenant déjà mieux. Comme si ce n'était qu'un ancien souvenir. Bien sûr, je voyais mes capacités et mon endurance avoir diminués, mais ce n'était pas quelque chose qui m'inquiétait. Je me donnais quatre mois pour être de nouveau en pleine forme.

On était vendredi et les filles me rendirent visite dans ma chambre. La situation à l'extérieur n'était pas bonne, la popularité des héros diminuait remplacé par la haine. Je comprenais c'est gens s'ils avaient perdu des proches, mais je ne comprenais pas pourquoi en voulaient-ils plus aux héros qu'aux vilains.

Alexithymia || My Hero Academia X OC. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant