Chapitre I

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Super mature ! Scènes sexuelle/contenue très explicite, dernière prévention !

    -  Au revoir, princesse.

    -  Je t'aime fort. Avouais-je.

Il m'embrassa dans le hall de l'aéroport avant de ressortir. J'avoue adoré mon métier, mais c'est parfois un brise cœur de me séparer de mon mari que j'aime tant pendant tout ce temps. Il allait vite falloir que je trouve une solution pourtant, parce que le projet bébé trotte dans nos tête et je ne peux pas continuer avec mes aller-retour...

Cette fois, direction Sydney, en Australie, mais avec une escale en Égypte alors ce vol étalée sur deux jours va être épuisant pour nous toutes. Parce que oui, nous faisons souvent nos vols entre filles, je ne serais l'expliquer, c'est comme ça. D'abord un peu plus de cinq heures pour arrivée en Afrique, une nuit à l'hôtel de l'aéroport Égyptien avant de repartir le lendemain matin pour l'Australie avec cette fois-ci quinze bonnes heures de vol. Je vais m'écrouler une fois arrivée dans le pays des kangourous ! Dans mon pays enfaite.

J'enfilai mon uniforme chic, un collant chair sous jupe bleu nuit arrivant à mi-cuisses, la veste allant avec surplombant une chemise bleu pale colle v. Cette veste est un vrai coup de coeur — j'adore la totalité de cette tenue de toute façon — il y'a un badge ovale doré avec mon nom gravé, attaché sur le devant à droite et l'insigne de la compagnie sur la gauche puis deux boutons dorés, parfaitement symétriques me laissant fermer la veste et l'ajuster à mes courbes généreuses. Je nous ensuite le foulard bleu nuit - décoré de doré également - autour de mon coup puis mon je pose gracieusement mon calot sur le haut de ma tête en le fixant avec quelques épingles. Et enfin, la touche final, des talons noir d'une petite dizaines de centimètres allongeant et affinant ma silhouette. Parfaite, pensais-je une fois le maquillage fait, je mettais arrangée pour faire ressortir le bleu de mes yeux avec des faux cils, et un fin trait d'eye-liner. Je ne portes pas souvent de fard à paupières, trop galère de faire un truc qui me convient et qui soit élégant.

Je rejoignais mon équipe, ma valise à la main, nous avions à peu près toutes la même mais le bagage à main est identique, nous étions toutes assorties l'une à l'autre. Nous passons en priorités pour le contrôle de valise et la douane avant de rejoindre notre terminal. Nous montions plus que je ne le pensais. Je pris place en première classe qui m'avait été attribuée pour ce vol et attendait les passagers pour les accueillir. Deux minutes, cinq minutes, huit minutes et enfin les premiers passagers entrèrent, c'était les kids solo du voyage qui s'installait avant et discutaient rapidement avec mes collègues de la classe économie. Puis la foule arriva, de belles dames, de jolies garçons, des enfants — qui j'espère seront calmes, je ne veux pas entendre les quelques bobos ce plaindre — puis j'aperçus un bébé dans les bras de sa maman. Il est si craquant ! Des petites joue ronde, de beaux yeux bleus-vert et grand ouvert, une peau me faisant penser à une poupée. Elle est habillé d'un ensemble rose pâle avec un petit colle « claudine » blanc façon dentelle. Elle est à croquer ! Sa suffit Eliza, reprend-toi !

Point de vue d'Alycia

Je répondais au bonjour de l'hôtesse qui nous accueillait au bout du tunel et entrait, une autre se dirigea vers moi, grande, peau blanche, une belle peau blanche, veloutée même, vêtu d'un... d'un uniforme bien sûr ! Suis-je bête ou quoi ? Mais ses boucles d'or et ses yeux bleus me frappèrent, ses iris étaient à tomber. N'en parlons même pas de sa voix si douce... et sa bouche ! Sa bouche, je pourrais la croquer mais je dois me contrôler. J'ai promis à Laura de me contrôler, c'était le but de se voyage non ? Partir une semaine dans mon pays et ne pas baiser de la semaine. Un pari stupide lancer par Lincoln, je le déteste. Mais juste pour qu'ils arrêtent de penser que je suis une fille facile qui ouvre les cuisses à chaque coin de rue, je vais relever le challenge et leur prouver que je ne suis pas cette fille qui s'est tapé quatre filles en une nuit. Oui, oui, je sais, c'est beaucoup. C'était la même nuit de se parie débile fait il y'a quelques semaines. Ce qui va être dure, c'est cette nuit à l'hôtel. On y croise un paquet de personne, dans un endroit où des chambres sont à notre disposition, c'est encore plus tentant de briser ce challenge. Et puis on dit que les égyptiennes sont à tomber ! Si elles sont toutes comme Cléopâtre, je vais m'éclater !

Un vol très, très, très sportif - ELYCIAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant