la discussion avec mon père.

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La nuit s était merveilleusement bien passée. Aujourd'hui c était samedi. Mon père était rentré plus tôt. Je decidais d aller de voir.

-Papa?
Il se retourna et me regarda avec un grand sourire.
-Tu n est plu fâchée ma grande?
-Qui a dis que j étais fâchée je ne veux pas grandir c'est tout.
Il me regarda interloqué.
-Mais Nina la question n est pas de vouloir ou non, tout le monde grandis... même sans le vouloir.
-Mais tous vos problèmes de grand, cela M epuise et puis je pars... ce soir.
Il me regarda surpris.
-Tu pars? Mais où ça?
Je pris une grande respiration.
-Au pays imaginaire avec Peter.
Il commença à rougir de colère.

-Nina tu cherche à te faire interner ou quoi?! C est un dessin animé mais tu as quoi dans la tête?
-Peter es bien réel et le pays imaginaire aussi! Cela fait deux nuit que je passe avec lui à voler dans ma chambre! On rigole bien, on ne pense jamais à nos problèmes!
-Nina je t interdit de parler comme ça!
-Je vais M en aller, je te l aurais dis, comme ça tu sera forcé de me croire, mais se sera trop tard, car je ne reviendrais pas!

Mon père me gifla si fort que ma joue était irritée. Il était allé trop loin, ce soir je partirais.

-Avant pour essayer en vain de me croire, je vais te montrer si j y arrive.
Il me regardais avec une inpassiblite déconcertante.

Je me reculais de quelques mètres et pris de l élan, sauta sur le canapé et pris mon envol, j était maintenant dos au plafond. Mon père était au bord de l évanouissement.
Je redessendit enfin et mis mes poing sur mes hanches.
- Tu me crois maintenant?
-Dégage, t es plu ma fille, je ne veux pas d un extra terrestre chez moi!

S en était trop, je remontait en larmes.
Pourquoi devait il être grand! Mon esprit fut attire par une espèce de fumée dorée. Je M avança vers celle ci et découvrit en train de jouer avec des morceaux de tissu une petite créature ailée. Lorsqu'elle me vit, à une vitesse fulgurante elle s en alla, Peter passa sa tête dans l entre bâillement de la porte suivi de la fée.

-Tu voulais que je te la présente alors voilà, je te présente Clochette.

Je le poussa à l intérieur de ma chambre et ferma la porte.

-Peter tu es fou imagine que mon père t ai vu.
-Il ne me verrais pas, tu la bien mis en colère...
-Peter je suis prête!
Il souriait à pleines dents.
-Je sais, je l ai senti lorsque tu a parlé à ton père.
-Nous partons quand?
-Ce soir!
Il pris de l altitude, je le rejoint.

Mais que tu es beau Peter...

-Merci, on me l'a souvent dit
Je me mis à rougir.
-Quoi, comment tu...
-Je lis dans les pensées...

Mais avait il déjà aimé?

-Peter?
-Oui.
-sais tu ce qu est l amour...
-j ai jamais ressenti ça...
-Si tu es obligé, il y a des tas d'autres sentiments exploitables, le haine, le bonheur, la joie...
-la joie. Et le bonheur..
-Peter...
-Non Nina je sais, mais on m'a un jour conté une histoire, l amour à du bon mais aussi du mauvais... je suis encore un enfant comme toi je ne ne suis pas prêt à aimer.
-Quel âge as tu?
-seize ans..
-À seize ans tu peux ressentir l amour, c est un bel acte.
-Nina, je veux juste M amuser...
-Moi aussi!
-Alors suis moi, on partira au pays ce soir mais avant on a du temps, viens.

Il me pris la main doucement et il s envola par la fenêtre, il remarqua que j avais peur, il me pris alors par la taille, me sorti de ma chambre et une fois dehors, me lâcha. Peter rougissait, il venait de prendre conscience des sentiments...

-Peter ou allons nous?
-Ne pose pas de question.

On volaient haut, parfois même on allai au dessus des nuages. On joignait les mains, et on sentais l air frai sur notre peau.
Cela devait faire une bonne heure que l ont volait à pleine vitesse, je n était pas fatiguée,  c'était magique. Au bout d un moment, Peter descendit, on passa outre les nuages puis nous descendîmes sur une place, nous étions devant un monument de fer, la tour Eifel.
Il y avait une petite forêt enfin un parc. Il M enmenena vers un arbre, il s assit sur une branche et je fis de même.

-Je viens souvent ici, il y a un peu de monde en journée mais à cet heure c est le meilleur moment.
-C'est vrai que c'est beau, avec le coucher du soleil.
-Nina, je t ai apris à voler... aprend moi les sentiments...
- ils ne s aprennent pas, ils se ressentent.
-Fais moi ressentir l amour s il te plaît.

Je me pencha doucement, je frôlait ces lèvres,  puis j y déposa un doux baiser.
Peter me regardais dans les yeux comme il ne l avait jamais fait. Puis, il baissa les yeux et se leva de la branche.

-Partons, Clo est restée dans ta chambre, elle nous attend pour aller au pays imaginaire.

peter et le pays imaginaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant