Chapitre 13

6 1 0
                                    

- je suis fier d'elle et de l'enfant qu'elle porte maman. Tu as dit que papa a eu une maîtresse noire et tu penses que c'est la raison pour laquelle je dois haïr les noirs n'est ce pas maman ??
Laisse moi te dire pourquoi papa a eu une maîtresse. Tu veux savoir la vérité et je vais te le dire maintenant.
Papa s'est lassé de toi,de ta jalousie,de ton comportement.
Papa t'aimait vraiment mais toi qu'est ce que t'as fait maman ?? Tu as toujours dit qu'il exagérait et quand il s'occupait plus de toi tu devenais jalouse. Tu t'occupais juste de toi et non de papa.
Je suis heureux qu'il puisse être épanouie maintenant
- Michael je t'interdis
- non maman tu voulais la vérité et voilà la vérité.Papa était devenu un peu dépressif à cause de toi. C'est vrai que mon rêve était une famille unie mais je suis plus content que papa puisse être épanouie.Tu voulais me faire croire que papa nous a abandonné mais je vois les raisons et je suis plus que d'accord avec son choix.
- Michael tais toi
- non maman je ne me tairai pas. Pas cette fois. Tu veux que je puisse faire ce que tu veux comme tu voulais le faire pour papa n'est ce pas. Je pensais que tu as changé mais je vois que je me suis énormément trompé. J'ai même honte. Honte de ton comportement.

La dispute continue et moi je me mets à l'arrière. J'ai parfois pitié pour la vieille dame. Elle montre qu'elle est forte mais en vrai elle est toute seule.
son mari l'a quitté au profit d'une autre et maintenant elle est entrain de perdre son seul et unique fils.
Michael ne le voit pas mais il est entrain de détruire totalement sa famille.
Parfois je me demande pourquoi je suis venue ici. Si j'étais restée dans ma petite ville rien de cela ne serait arrivé.

- Malaïka et moi partons maman. Cette maison n'est pas la nôtre et je bien peur que nous sommes pas les bienvenues.
- Nonn Michael ne part pas s'il te plaît
- désolé maman. Malaïka vient on part.
- Michael, Michael ne part pas s'il te plaît. Écoute moi je suis vraiment désolée ne part pas mon fils s'il te plaît.

La vieille dame s'étale sur le sol au pied de son fils
Michael ne veux pas écouter. Je ne sais pas quoi faire pour l'arrêter. Bientôt je serai mère et si mon enfant  me quitte je me sentirai mal
Je le tire en arrière et je lui parle d'une voix douce et apaisante.

- Michael attend nous sommes venus ici pour passer du temps avec ta mère. En plus notre séjour est d'une ou deux semaines.
Nous ne pouvons pas juste partir comme ça. Et tu diras quoi à notre enfant si il te pose la question de connaître sa grand mère  paternelle ??

Je prends sa main et je la pose sur mon ventre.

- écoute il fait ses petits coups.
Ne veux tu pas partager ta joie avec ta mère ?? Tu sais ma mère m'a toujours dit de profiter de ses parents quand ils sont encore près de nous. Parce qu'il arrivera un jour où ils partiront et là pour ne plus jamais revenir. Fais le pour moi et pour notre bébé.

Il soupire et me regarde avec colère. Mais il ne veut surtout pas me décevoir. Et quand il s'agit de son enfant,il est près à tout faire.

- d'accord juste pour une ou deux semaines pas plus.
- merci mon ange.

Je le prends dans mes bras et je l'embrasse profondément.

- merci beaucoup mon fils.
- ne me remercie pas. Remercie le Ciel de t'avoir donner une belle fille comme Malaïka.

Michael prend ma main et me conduit jusque dans sa chambre.

**

- bonjour mon fils. Je te présente Jolia.
C'est la fille d'un ami à ton père.
Elle a 24ans,elle est belle, gentille et je suis sûre qu'elle fera une bonne épouse mon fils.
- maman Malaïka me suffit et je n'ai besoin de personne donc elle peut partir merci.
-mais mon fils...
-maman j'en ai assez. Déjà je reste juste pour Malaïka et tu veux encore en rajouter. Mais je ne comprends pas maman
- je veux juste une bonne épouse pour toi mon fils.
- j'ai déjà la femme qu'il me faut merci.
Mademoiselle Jolia je vous remercie de votre visite mais je pense que vous devez rentrer chez vous maintenant.
- oui monsieur Michael. Merci Madame pour votre invitation. Dit elle d'une voix basse.

Elle part la tête baissée avec une petite tristesse. C'est sûr qu'elle attendait que mon Michael puisse lui donner de l'importance.
Malheureusement il n'appartient qu'à moi.

- maman je pense que j'ai été clair. J'espère que ça ne se reproduira plus
-Mi...Mic...Micha... Michael...at... attend

Malheureusement pour elle mon beau Michael se retrouve et part

**
- je ne sais pas qu'est ce qui la prend.
Je pensais qu'elle était d'accord .
- mon ange calme toi. C'est ta maman.

Je le prends et je l'allonge sur le lit.
Je fais des cercles sur sa peau et je lui chuchote quelques petits mots.

- tu sais vraiment  comment me réconforter. C'est pourquoi je t'aime mon amour

Il prend ma main et m'attire près de lui

- mais aujourd'hui tu dois faire autre chose pour me réconforter.

Son sourire espiègle revient sur ses lèvres

- et tu veux quoi ??
- aujourd'hui je te veux. Je te veux tout entièrement.
- c'est ça. J'aimerai bien mais pour m'avoir il faut m'attraper.

Je lui jette un cousin près de nous et je me précipite de sortir. Je ferme la porte avec violence d'arrière moi

- aïeeeeeeeeeeeeeeeee

C'est quoi ça!! Ça doit être Michael il s'est sûrement cogné. Ohhh il a dû se faire vraiment mal.

- Michael, Michael,Mi...Micha... Michaellll

Je vois Michael allongé au sol. Mais qu'est ce qui se passe. Comment s'est il évanouie

- Michael lève toi. Je suis vraiment désolée,excuse moi s'il te plaît réveille toi

Je le bouge mais il se passe rien.
Il me reste qu'une chose.
Je m'approche de lui et je lui donne un baiser sur ses lèvres.
Tout d'un coup je sens une main qui m'entoure et me tire plus prêt

- je t'ai eu mon ange

Michael ouvre ses yeux avec le même sourire sur les lèvres.

- imbécile,fou, idiot, tu m'as fait peur tu sais. Je m'inquiétais vraiment pour toi et toi tu prenais plaisir à me voir comme ça
- calme toi ma tigresse

Il me rapproche plus près de lui et continue de m'embrasser.
Il me soulève malgré mon lourd poids et me dépose tout doucement sur le lit.
Il me caresse le ventre,puis le cou et enfin la main.
Il me tire plus près de lui et commence à m'embrasser.
Je gémis encore plus quand il m'embrasse le cou. Il m'embrasse et m'embrasse et la nuit passe dans cette même ambiance

Different race Où les histoires vivent. Découvrez maintenant