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2 semaines, 2 semaines qu'elle ressemblait à un zombi ambulant.

Charles avait pris la décision d'appeler Franceska, pour qu'elle vienne motiver sa meilleure amie.

« Non, pourquoi tu l'as appelé », dit-elle

« Tu es un zombi, il fallait que tu bouges », dit-il

Elle râla et se terra dans son lit.

« Allez sors de là », dit-il

« J'ai pas envie, c'est mon jour de congé, j'ai le droit de pleurer toute la journée si je le souhaite », dit-elle

Au même moment on toqua à la porte.

« Si c'est Verstappen ou Ricciardo, dis leur que je suis sous la douche et pas dispo », dit-elle

« Bien madame », dit-il

Il ouvrit la porte et ria.

« Je viens voir Lucia », dit-il

« Elle prend une douche », dit Charles

« S'il te plaît laisse moi entrer », dit-il

« Max elle est occupée elle a pas le temps de gérer tes remarques », dit Charles

« S'il te plaît, dis lui que je dois la voir », dit-il

« Je lui dirais », dit Charles en fermant la porte

Elle soupira et ses larmes recommençaient à couler.

« Tu sais tu devrais songer à sortir », dit-il

« Je vais me doucher, on pourra aller manger comme ça », dit-elle

« Bonne idée je meurs de faim », dit-il

Une fois propre et habillée, elle descendit avec Charles pour manger.

Elle rejoignit le restaurant de l'hôtel et parlait avec Charles.

« Lucia ! », s'exclama Pierre

Il la serra dans ses bras et la fit s'asseoir à ses côtés.

« Il faut qu'on sorte », dit-il

« Non sans façon, je dois rester focus sur la fin de saison », dit-elle

Il la regarda bizarrement et elle finit par se servir à manger.

Max était à l'autre bout, il espérait pouvoir l'attraper pour lui parler, elle lui manquait et il voulait réparer les choses entre eux.

Le repas se passa sans encombre et elle avait même rit avec Pierre et Yuki.

Seulement l'après midi suivante, Franceska était arrivée et en plus de ça c'était le Grand Prix des Pays-Bas.

« Lucia, Livia Binotto ! », cria Franceska dans les paddock

« Oh non », râla t-elle

Elle allait se faire remonter les bretelles par sa meilleure amie.

« J'irais parler à ton pilote ensuite mais toi, qu'est ce qui ne va pas chez toi ? Te morfondre sur un connard vraiment ? C'est comme ça qu'on apprit !? Eh bien non ! Alors tu avances ! », cria l'italienne

« Franceska, ne cris pas, je ne veux pas que toute l'écurie entendent mes problèmes », dit-elle

« On va sortir ma vieille, tu vas rencontrer quelqu'un je te le garantis », dit Franceska

Elle souffla, ça la soûlait d'avance.

Et Franceska l'avait forcée à aller en boîte, le soir qui suivait le Grand Prix.

The one I like (Max Verstappen)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant