Le mal et le bien

Le terrier

Après cette ouverture de cadeau assez particulière à mon gout nous avons décidé avec Gorges, Fred, Ginny, Ron, Harry et ma sœur de faire un petit tour dans  la forêt proche du terrier. J'étais dans la cuisine avec ma sœur et sa meilleure amie on attendaient encore une fois les garçons, tendis que Molly arriva vers nous un panier remplit de bonne chose je présume.

-vous avez pris vos baguettes? Nous redemande Molly 

-oui maman, ne t'inquiet pas pour nous! Renchérit Fred

-les amis sa vous dérange si avec Fleur l'on vous accompagne? Nous demande Charly 

-je présumé que maman se sentira mieux avec toi ! Réplique Ron, ce qui me fat lever les yeux au ciel presque automatiquement 

-Ronald! Tu peux pas comprendre ce que ta mère vit actuellement parce que tu na pas d'enfant! Alors ferme là est respect là! M'énervais-je 

Je tourne ma tête vers Molly qui venait d'accrocher un sourire avant qu'il soit encore recouvert par cette onde d'inquiétude. Après tout ça se comprend ses enfants sortent qui plus faites dans les conditions actuelles,. J'a l'impression d'être la seul à la voir se balader avec cette horloge où sont accrocher le visage de ses enfants de son mari, pour savoir s'ils sont bien rentré ou toujours en vie. Alors oui le comportement de se crétin m'exaspère!

-bien nous devrions y aller! Propose soudainement Ginny 

-oui tu as raisons! Renchéris Harry 

Je fit un léger sourire à Molly avant de quitter moi aussi le foyer. Charly et Fleur état derrière nous entrain de discuter de leur vie je présume. Je ne comprend pas pourquoi Ron et Ginny déteste Fleur elle est super gentille.

-l'on s'enfonce pas trop si vous plais! Je veux pas revivre ma deuxième année! 

-ho les araignées ton traumatisé Ronald. Rigolais-je 

-la ferme Granger. Râle-t-il 

Je rigole et me reconcentre sur le chemin j'ai pas envie de me faire une cheville comme en cinquième année. Je finit par avancer plus vite et que le groupe et je me retrouver seule devant mais bon les jumeau ne tarde pas à rejoindre. 

-alors cette année à Poudlard? Demande Fred

-la même chose depuis ma première année. Répliquais-je 

-ne me dit pas que Draco n'a toujours pas avouer ses sentiments. 

-qu'est ce que tu raconte George? Draco ne m'aime pas il me la dit droit dans les yeux! 

Les deux garçons se mettent soudainement à rigoler. Qu'est ce que j'a bien plus dire de si drôle? 

-Draco t'aime! Je ne sais pas ce qu'il a bien pu te dire mais c'est faux. 

-on a faillit s'embrasser! Soufflais-je soudainement 

-mais c'est génial. S'écrit-il tout les deux en cœur. 

-il ma dit qu'il regretter son geste que c'étais simplement sur le moment. Je lui ais répondue que c'étais évident de plus aucun de nous deux à des sentiments 

-mais tu regrette ta phrase parce que maintenant tu l'aime. Me coupe Fred. 

Malfoy est un putain de casse tête et dieux seul c'est à quels point l'humain à lui tout seul l'ais déjà bien assez. J'aimerais l'avoir dans mes bras, pouvoir l'embrasser. 

-tu verras, moi je dit dans 1 mois tu seras dans ses bras. Réponds George comme s'il avait lue dans mes pensées.

-quoi...Mais comment?

-tu as pensée à voix haute! Rigole les jumeaux  

Je leur souris, et nous continuons de parler des farces que l'on faisait à Poudlard du temps où nous étions ensemble. Le reste du groupe nous rejoins et nous nous posons à coté d'un sol pleureur. Hermione déballe le paner et nous distribue à chacun le repas que Molly nous avait préparé. 

-vous parliez de quoi vous trois? Demande soudainement Fleur.

-tu peux pas t'occuper de t'es affaires. Gueule Ginny. 

-l'on parlait simplement des plans foireux que l'on faisait avec Daphné et Théo! 

-pourquoi j'ai ressentie des larmes et de la tristesse? Demande Hermione 

J'avais oublier se putain de lien de merde, comment je suis sensé lui mentir alors qu'elle le sentirais presque automatiquement . 

-je pleurais de rire, tout simplement. Mentais-je . 

Je fixais ma sœur dans les yeux. Je venais une fois de plus de lui mentir mais j'avas pas la force de lui dire droit dans les yeux que j'étais amoureuse de l'homme quelle méprise le plus