JULIA : Une Rachetée Par Jésus-Christ TOME 2 [ EN COURS ]

Chapitre 13 ♡

Note de l'autrice

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D'Hadassa à Reine Esther, l'ÉTERNEL l'avait déjà écrit...

De ce que nous sommes à ceux que nous seront, l'ÉTERNEL l'a déjà écrit...

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QUELQUE PART DANS LE MONDE

CONTINENT AMÉRICAIN

ÉTATS-UNIS

NEW-YORK

HÔPITAL DE LA CAMPAGNE

PDV D'EDDY

Inès : Je ne comprends vraiment rien à ce que vous me racontez Monsieur Campbell, ma sœur ? Que s'est-il réellement passé ?

Me demande la sœur aînée d'Annive.

Moi : Je vous l'ai plusieurs fois raconté, Inès, elle s'est évanouie dans les escaliers, je l'ai ensuite rapidement conduite ici, à l'hôpital. Après des heures d'inconscience, elle nous a fait plusieurs crises incontrôlables à ces réveils dont les docteur eux mêmes n'ont pas la compréhension. Depuis nous sommes dans l'obligation de la maintenir dans un coma artificiel jusqu'à ce qu'on trouve ce qui ne va pas.

Racontais-je épuisé.

Inès : Ma sœur a toujours eu une santé de fer, et vu tous ce que ça racontent sur vous, je n'arrive pas du tout à vous faire confiance.

Moi : (surpris) Que voulez-vous dire par là Inès ?

Inès : Ne jouez pas à ça avec moi cher Monsieur Campbell, ne jouez surtout pas à ça avec moi.

Dit-elle sur un ton presque menaçant.

Inès : Nous sommes parfaitement au courant de la source de votre richesse perdue !!! Alors si vous ne laissez pas ma soeur tranquille, si vous ne la faites pas sortir de là Monsieur Campbell, on se retrouvera à la police soyez-en sûr, vous n'aurez plus jamais la paix !!

Moi : Nous sommes dans un hôpital, arrêtez s'il vous plaît de crier autant. Et j'ajoute que je n'ai rien à avoir avec ce qui arrive à Annive, vous pensez réellement que je pourrais lui faire du mal ? À une personne qui m'a accueilli chez elle malgré tout ce que les gens racontaient ?

Inès : Monsieur Campbell, vous n'avez pas hésité à sacrifier votre propre fille, votre propre sang, une partie de vous, alors ma sœur ne sera sûrement pas l'exemption à ce que je sache.

Moi : Vous n'avez pas le droit de me ramener, là où DIEU m'a retiré, vous n'avez pas le droit de m'appeler par mon passé, alors que JÉSUS-CHRIST m'en a délivré. Inès soit vous attendez avec moi les nouvelles des médecins, soit vous partez d'ici.

Inès : C'est ma soeur alors je fait ce que je veux !! J'ai le droit de rester ici si je le veux !!

Moi : Oui, mais vous n'avez le droit ni de m'insulter, ni de me contrarier.

Inès : J'y vais, mais vous entendrez parler de moi. Je n'aurais pas de mal à vous envoyer là où est votre place, vu vos antécédents.