Dae-su : C'est Pieds-su !
Gyeong-su : Cheong-san !Nous regardions tous par la fenêtre. Je fus soulagée qu'ils soient tous deux vivants. Après qu'ils soient entrés, je m'asseyais sur la chaise devant la fenêtre. Après tout ce que j'avais fait, j'avais bien le droit de respirer deux minutes. Ils finirent par rentrer sains et saufs. Na-yeon les supplia de fermer la fenêtre, encore...
Na-yeon : Fermez la fenêtre, pitié !
Gyeong-su descendit de la table et avança vers elle en criant.
Gyeong-su : Tu voyais qu'il entrait. On ne pouvait pas la fermer avant !
Les deux se faisaient maintenant face.
Na-yeon : C'est mal de dire de la fermer ?
Gyeong-su : Tu penses qu'à ta survie ?
Na-yeon : Je ne te supporte plus, sale sangsue.Mais pour qui elle se prenait ? Je gardais les bras croisés contre ma poitrine, attendant de voir la réaction de Gyeong-su. Celui-ci la poussa violemment et elle finit assise sur la chaise.
Gyeong-su : Tu as dit quoi ?
Cheong-san : Ça suffit.Il prit le bras de Gyeong-su et le yoga vers lui. Mais Na-yeon se releva, prête à lui faire face. Elle cherchait à mourir ou bien ?
Na-yeon : Tu viens de me frapper ?
Gyeong-su : Oui. Répète ça.
Mme Park : Ça suffit. Vous faites quoi ?
Na-yeon : Il m'a frappée.
Gyeong-su : Tu m'as traité de sangsue.
Na-yeon : C'est pas la vérité ?
Cheong-san : Comment tu peux dire ça ?
Mme Park : Comment ça, une sangsue ? Pourquoi une sangsue ? Ça signifie quoi ?Personne n'osait lui répondre. Le terme était clairement péjoratif. Je soufflai, me décidant à lui expliquer.
— Il touche des allocations. Il vit aux crochets de l'État. D'où le terme "sangsue".
La prof semblait confuse voire outrée qu'elle puisse utiliser ce terme envers quelqu'un. Elle leur fit un peu la morale, c'était un peu son rôle de professeure. Ji-min finit par lui demander si elle avait appelé les flics, mais Mme Park n'avait pas son téléphone.
Cheong-san : On a appelé. La police et les premiers secours ne viennent pas.
Mme Park : Soyons patients. Attendons encore un peu.Dans cette situation, on ne pouvait plus se permettre de compter sur l'arrivée des secours. À moins qu'une opération générale de sauvetage soit lancée par l'armée elle-même, nous n'aurions aucune aide de qui que ce soit. Je réajustais ma position sur la chaise, faisant face à Mme Park.
— Madame. Hyeon-ju avait les yeux rouges et les mains froides, il paraît. Et j'ai vu l'infirmière mordre un élève après la cantine. Tout a commencé à partir de là.
Hyo-rung : Mais elle est allée à l'hôpital.
— Ça s'est propagé là-bas aussi. Personne ne viendra.
Joon-yeong : Attendez. L'ordi marche, non ? Internet.Celui-ci partit à l'écran malgré sa jambe douloureuse, dû à une crampe. Tout le monde partit autour de lui, tandis que je restais près de la vitre. Je croisai ma jambe l'une sur l'autre, dépoussiérant ma jupe.
Cheong-san : Tu vas bien ?
Je relevai la tête vers lui, alors qu'il s'appuyait contre la vitre à côté de moi.
— Un peu fatiguée. Et toi ?
Cheong-san : Ouais, aussi. L'ordi est allumé, tu ne vas pas voir ?Je regardais en direction du groupe. L'ordinateur semblait prendre du temps à démarrer, agaçant Dae-su qui se plaignait.
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𝗔𝗹𝗹 𝗼𝗳 𝘂𝘀 𝗮𝗿𝗲 𝗱𝗲𝗮𝗱 | 𝘊𝘩𝘦𝘰𝘯𝘨-𝘴𝘢𝘯
FanfictionNim Sun-hi a été transférée au lycée Hyosan afin de vivre un peu plus tranquillement son année de première, mais voilà qu'une nouvelle menace surgit. Au beau milieu de ce lycée, nul ne se doutait qu'il s'agirait du lieu d'un massacre terrifiant...