Bonjour toi.
Toi que j'aime
Toi que je hais
Bonjour, dois-je
Te nommer
Ou simplement me contenter
De t'adorer ?
De te haïr de te détester
Et de te vouloir à tout prix ?
Ceci est mon ennemies to lovers
L'unique histoire qui perturba mon cœur.
Des quatrains des tercets je n'en ai cure
Je ne veux que m'exprimer
Sans rime ni rythme juste des mots
Qui forment des vers
Et s'alignent à me plaire.
De quoi parlé-je déjà ?
Ah oui. Bonjour toi
Que je hais mais que j'aime tant.
Aujourd'hui tu m'as quittée
Pour une semaine ou deux
Toi aussi tu as besoin de vacances
Mais sans toi tout est étrange.
Je te cherche en même temps
Que je reste dans mon coin
T'ignorant de toutes mes forces.
J'ai peur. Qu'on te mette un nom sur
Ce que tu es ce que tu n'es pas
J'ai peur de faire le premier pas
Dois-je vraiment connaître ton nom ?
Ou ne puis-je me contenter que de vivre à tes côtés en tout anonymat ?
Je suis d'humeur à proser ce soir alors
Mes vers ne seront pas beaux
Ni esthétiques mais seront vers
Car j'en ai décidé ainsi.
Douleur. Je te parle encore.
Car j'ai mal. Ou plutôt je n'ai plus mal
Et cela me fait encore plus souffrir.
Je déteste t'aimer tant, Douleur, tu sais.
Parce que t'aimer c'est t'accepter
Et t'accepter c'est accepter de souffrir
Jusqu'à la fin de ma vie. Le pire est
Que je suis tentée de trop t'aimer
C'est triste à dire que la douleur rend vivant
Douleur tu me fais vivre
Douleur tu me feras mourir
Mais je t'aime mais je te hais
Douleur aime moi comme je te déteste
Aime moi jusqu'à ce que la vie de mon corps tu ôtes
Aime-moi en enfonçant tes lames dans mon corps
De toute manière tu m'as déjà tuée
Donc vas-y, tourne le poignard, je suis déjà morte.
Douleur je te hais de me tuer
Je te hais car tu me fais vivre
Je te hais car je dépend de toi ma vie dépend de toi et ma mort ne peut que venir de tes mains
Oh Douleur si tu savais comme je t'aime
Dans aimer il y a hait et je te hais
Comme un enfant hait son parent
Il ne hait pas il aime
Je ne te hais pas je t'aime trop et je meurs.
Douleur dis-moi que tu es mienne et je te laisserai
Me détruire en me faisant vivre.
La douleur n'est que l'équilibre entre vivre et mourir.
Mais chaque fois que tu m'abandonnes,
Je ne sais de quel côté la balance a penché.
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In Noctem
PoetryMa tête est pleine De petits bouts de vers Qui s'assemblant font poème Ma tête est pleine De petits ou grands poèmes Qui ensemble font recueil Bienvenue dans ma tête Dans ma vie J'ai décidé de tout publier Et rien n'est plus sincères Que les mots q...
