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JAHYZA

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BRUXELLES
IL Y A PLUSIEURS ANNÉES.






- Mon père : Allez Jahyza frappe, encore.



Je frappais sur ce sac de boxe sans vraiment savoir pourquoi je le faisais. Je me contentais de reproduire machinalement les exercices de mon père, sans imaginer une seule seconde que ces exercices ferai de moi l'une des femmes les redoutée du monde arabe dans quelques années.



Moi : Ça fait quatre heures que je frappe sur ce sac, à quoi ça peut bien me servir ? dis-je en étant essoufflée.

- Mon père : Frappe, tu te chargera de comprendre plus tard.




Je le regard l'esprit confus avant de frapper à nouveau, encore et encore, durant de très longues heures. Je finissais mes journées d'entraînement complément épuisé, à à peine douze ans.




Moi : Je n'en peux plus.

- Mon père : C'est que tu t'es pas encore prête alors.

Moi : Prête a quoi au juste ?

- Mon père : À ce qui t'attend ma fille.

Moi : Je veux rentrer dormir ça y es en retirant mes gants.

- Mon père : Un jour tu me suppliera de t'entraîner.

Moi : Oui d'accord, en attendant on peut rentrer ?




J'étais loin d'imaginer qu'un jour « frapper » deviendrai pour moi le seule moyen de ne pas devenir folle, ou encore de ne pas flinguer tout le monde qui m'entoure. Et pour être honnête il ne m'a pas fallut très longtemps pour comprendre ces exercices, pour comprendre à quoi ils servaient. Ils avaient été mit en place pour peaufiner avec précision la jeune femme que j'allais devenir. Ils avaient été créés pour forger la jeune femme qui me serait donné d'être. Ils étaient tout simplement fait pour Jazyha Othmani fille de Jabal Othmani.





DE NOS JOURS.




Il était à peine vingt heures quand je revenais de mon rendez vous avec Saher Laarbi, l'un des plus grand associé de mon père. Il venait d'atterrir en Belgique après deux longues années au Liban. Je l'avais donc récupéré à l'aéroport comme il se doit, sans oublié de lui rappelé les quinze miles euros qu'il devait à mon père. Sans grande surprise il n'avait pas oublié de les apporter avec lui, par peur d'y laissé la vie je présume.





Jahyza « Amour impossible »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant