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JAHYZA

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Il n'a pas le temps de finir sa phrase que son corps s'écroule par terre. Il venait de prendre une balle en pleins cœur. Je reste immobile quelques secondes avant que Nizar ne vienne tirer sur mon bras.




- Nizar : Lève toi.



Je tente de me lever mais je retombe instinctivement, incapable de rester debout sur cette jambe.



Moi : J'y arrive pas.

- Nizar : Qu'est ce t'as ?

Moi : C'est ma jambe .. tu n'as qu'à partir.



Il soupire une énième fois et fini par placer ses mains sur le bas de mes cuisses avant de me porter contre son torse. Je dépose mes mains autour de son cou, et mon visage effleure délicatement le siens. Le temps s'arrête encore une fois et le monde semble s'être mît sur pause.




Moi : Pourquoi tu m'a pas laissé mourir ?

- Nizar : Parce que personne ne mettra une balle en pleine tête à la princesse à part moi.

Moi : Le roi sera déçu d'apprendre qu'il n'y arrivera jamais.




Il me dévisage avant de me déposer sur la banquette arrière de leur voiture. Faydân était côté conducteur et Nizar l'avait rejoins à l'avant. Nizar se voit envahir par une étrange gentillesse et fini par me tendre une bouteille d'eau, que je n'aurai jamais du boire ..




Moi : ..

- Faydân : On dit merci quand on est poli.

Moi : De rien, dis-je en buvant une gorgée de cette bouteille d'eau.

- Faydân : Comment vous avez pu vous retrouver ici ?



Je regardais par la fenêtre les rues de Al Jbaïl pendant que Faydân se prenait le vent de l'année. Nizar n'avait accordé aucune importance à sa question, ce qui n'avait pas interpeler Faydân. Le silence s'offre donc à nous, je ne sais pas vraiment où est ce qu'on va. Peu être qu'ils allaient me déposer chez nous, ou peu être qu'ils allaient me découper en morceaux et me jeter dans une poubelle, les deux suppositions pouvaient être vraies. Je me posais un milliard de question avant que ma tête ne se mette à tourner et que mon coeur se mette à battre à la vitesse de la lumière.






Jahyza « Amour impossible »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant