L'ange de mon coeur [EN PAUSE]

4- Sombre mort

(Chapitre pas encore corrigé)

Nda: violence, rapprochement, armes et torture.

Point de vue: Athéna

Mon coeur fait un saut dans ma poitrine. J'ai l'impression que le dangé nous gêtes. Je déteste ça, je déteste sur tout le fait que cette partit sombre de moi pourrais revenir. Alex a coté de moi prend son flingue. Puis il me chuchote:

- bouge pas ! Je reviens dans 2 minutes.

Il sort et tout ce que j'entend c'est quelque coup de feu qui résonne. Puis des cris de douleurs. L'angoisse monte en moi. Puis sa tête de couillon arrive dans ma direction.

-je l'est attaché a une chaise... Je vais le déposé dans la pièce rouge. Dis t'il.

La pièce rouge est la pièce de torture de se que j'en ai compris.

Puis je ne sais pas pourquoi, surment a cause de toute la rage que j'ai et la fait que je dois me défoulé je lui lance simplement:

- Laisse moi m'en occupé.

- le déposé la bas ? Demande t'il.

- le déposé la bas.

- non. Dit il simplement.

Il repart, dépose se con dans la salle et part vers son bureau. En toute discrétion je me dirige dans le sous sol vers la pièce rouge.

Je vois un homme ligotté a une chaise. Je ne vais rien lui faire, je vais juste lui posé quelque questions.

Puis son regard se pose sur moi et s'arrete sur ma poitrine très visible a cause de mon chandail devenue transparent.

Ark.

-quesque tu fais ici petite pute ? Me demande t'il

- a ta place je ne redirais pas le mot "pute" a moins que tu sois sucidaire biensur. Et sinon ce serait plutot a moi de te posé la question; que fais tu ici ?

- bon, la petite salope se croit menacante. Lache t'il calmement.

Je pris un couteau suisse proche et lui planta dans le membre sans même réfléchir.

Il gémit de douleur tout en fesant semblant que je ne lui avais pas fait mal alors que je venais de lui coupé sa progénitude.

Je savais que cette partie de moi refesait surface mais je m'en fichais il le méritait a près tout. Puis il me défiat du regard avant d'ajouté de façon sucidaire:

- oh la petite c'est se défendre !

Je pris le briquet proche et je l'allumat tout en le passant très proche de sa peau. Puis arrivant proche du peu de cheveux qu'il a je commencat a les brulés. Ce qui lui vaut des gemissement de douleur. Je pris le ceau d'eau gelée et le versa sur lui. Il frissonait et avais mal.

- sale pute !

- j'ai dit de ne pas m'appelé ainci.

Puis je reprit conscience de mon but: lui soutiré des réponse.

Je répetat:

- que fesait tu ici ?!

Il ne répondit rien alors je pris le couteau suisse et dis :

- oh et si j'enlevais ton tatouage sur ton épaule avec le couteau suisse !

Il ne dit toujours rien donc je commençat doucement a coupé sa peau tatoué. Ce qui lui vaut un hurlement. Puis quelq'un entra dans la pièce je devinat tout de suite que c'étais lui.