Le paradis du ressenti

Une personnalité étouffée

Une vie...
Quand on en prend soin, on l'a perd.
Quand on la boycotte, on dirait acquérir une éternité. Techniquement, toute chose qu'on aime sera détruite et les mauvaises herbes persisteront toujours. Que devrions-nous faire ?
Une envie narcissique, de preuve de sérénité.
Une envie de l'idéalisme..., À dessein de quoi?
Écœurés, dirai-je, sommes-nous.
Perdu dans un cataclysme de lyrisme, envie de la simplicité parfaite. Sentiment d'être senti.
Faire un choix, un chemin pour voir milles et une possibilités.
Que voulons-nous? Et pourquoi ? Bloqués et ceinturés dans cette instabilité inopportune .
Qu'y-a t-il?
Se réalisera t-il un jour ? Envie de réussir, plutôt une envie de se venger d'une rage qui fini par une perte d'humilité. Omis notre escient, on fini quand même de l'autre côté.
Qui suis-je ? Qui es-tu ? Il faut qu'on soit nous-mêmes, mais qui sommes-nous ?
Des mutations adaptées par notre propre vouloir, c'est une infinité de continuité.
Croyons-nous vraiment ? Ou croyons-nous pour quelque chose ?
Quel envigueur! Salubrité spirituelle sans fin.
Soyons ce qu'on veut être. Un envigueur d'éclairer par notre personne, une personnalité boycottée.
Pourquoi ce cycle ? Le destin.
Le maître du destin et ses employés.
Nous sommes incompris, instables. Tout un carnage d'insuffisances qui veut se combler. Toutes ces lacunes qui cherchent une satisfaction utopique.
Des chimères.
Des doutes.
Une confiance aux non dignes de cela. Un visage et deuxième rivage, pour quel fin? Vouloir prouver à qui n'en vaut même pas la peine.
Une confiance brisée, une personnalité cachée, une insuffisance incomprise, une chimère relatée, une vie sans voie, le monde à son revers.