La rencontre

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19h00
                          Jeanne :

Ma tante vas bientôt arriver, je met donc une tenue correcte pour son arriver , car oui je suis restée en pyjama toute la journée, et alors?

j'enfile mon top blanc et mon pantalon pate d'ef assortie avant de descendre rejoindre ma mère dans le salon

-Aide moi à mettre la table s'il te plaît
-Oui maman j'allais le faire
-j'éspère que tu a rangé ta chambre !
-OUI MAMAN répondais-je en appuyant sur le « maman » lui faisant comprendre que ses questions m'agaçais
-bien.

j'allais pour chercher les assiettes rangées dans le placard de la cuisine .

-j'oubliais, ne t'énerve pas comme la dernière fois , c'est une honte !

oui car ma mère proposait à ses invités de toucher mes cheveux quand il me demandais si ça n'étais pas une grosse tache d'en prendre soin.

-Compris?
-hmmm. répondais-je

4h plus tard.

de retour dans ma chambre.

je leur ais dit que j'allais me coucher mais la vérité est que , je m'ennuyais a mort et j'avais besoin de m'aérer.
j'enfile mon manteau , j'ouvre ma fenêtre avant de sauter par ma fenêtre.
Au début ça fais un peu mal mais avec un peu d'entraînement on s'habitue.

Je cours à travers mon jardin pour rejoindre la rue , descendre la pente avant d'arriver à quelques mètres de mon endroit favorie. Le parc de ma ville.

C'est là que je viens pour me calmer.

Je m'assis sur une balançoire avant de fermer les yeux et profiter du calme et du vent.

Jonathan
-Mec , ça fais 1h qu'on est la , je vais prendre l'air je reviens
-D'accord, envoies moi un texto si tu décides de rentrer in extrémis comme à ton habitude
-t'inquiète je reviens vite!
-c'est ça, c'est ça.

Je sort de la boite, la transition entre l'intérieur de la boîte avec la musique a fond et la fumé partout change radicalement de l'air frais et du silence de l'extérieur. Ça fais du bien!

Je m'éloigne un peu pour rejoindre le parc.
Je réfléchis a ce que mes parents m'ont annoncé, plusieurs meurtres on été repéré sur des hommes majoritairement de 18 jusqu'à 50ans dans New-york et ses environs. On ne sais pas encore pourquoi, et c'est ce que mes parents chercheront à découvrir pour ensuite remonter au coupable ou aux coupables.

En arrivant au parc , je vis la silhouette d'une jeune fille , ayant l'air d'avoir la vingtaine sur une balançoire.
Quelle ironie .
Elle dégage une aura.... dans ses habits qui la rendent attrayante.
Dangereux pour une jeune damoiselle.
Je vais donc la voir pour lui dire de rentrer chez elle avant que des brigands s'en prennent à elle.

-Mademoiselle. commencais-je
-hmmm

Elle ouvrit ses yeux vert perçant, et pris un air surprise en voyant que j'étais la planté devant elle.

-Que faite vous ici à une heure si tardive?
-Je vous retourne la question.

Elle marque un point
-Et bien je me promenais.. et je vous ai vue , je voulais juste vous dire de faire attention.

elle fronce les sourcils

-Vous inquiétez pas , je n'ai pas besoin qu'un mini justicier viennes me voir pour m'informer qu'il y a des connards partout , et puis qui dit que vous n'en êtes pas un.
-Je ne vous permettrais pas de m'accuser à tort ainsi , je dit ça pour votre sécurité. Je tient à vous informer qu'il y a eu plusieurs meurtres et je n'aimerais pas voir votre si jolie corp dans un lac.

Elle se raidit sous mes mots, avant de se lever et de disparaître totalement.

JeanneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant