L'idée de la mort me terrifie, et vivre est une épreuve
Je suis parmis ceux qu'on qualifie, des vendeurs de rêve....
Je me suis menti à moi même, je me suis forcé à espérer
J'ai tant cherché qu'on m'aime, j'ai tout fait pour aller mieux
Tant errer, mais quand même, j'ai étouffé mes bonnes idées
C'est un problème de gêne, tout ça est peut être parenté...Tout devient sombre, soudain, ta voix me parle au plus profond
Sous les décombres, putain, des sifflements en bruit de fond
Elle me rassure, caresse presque, me voici en sécurité
L'air s'sature de sa tendresse, est-ce, suis-je entrain de rêver ?
Elle est tellement mélodieuse, est-ce le dernier chant de mes anges ?
Que dis-je ? Je n'suis pas pieuse, une telle grâce m'est étrange
Soeurette, est-ce ta voix ? Me vois-tu du haut des nuages ?
Soeurette, t'es partie trop vite, les jours heureux ne reviennent plus
Ariette, je n'ai plus la foi, mon ciel est rempli des orages
Arrête ! Tout va si vite, tout va changer, je l'ai toujours su......Si cet instant est un songe, Morphée prend moi en sacrifice
Dans ma solitude, je m'y plonge. "j'ai morflé pour un sacré fils"
Telles étaient les paroles de ma mère, je n'ai jamais été un cadeau
Pas de bol, une vie si amère, toutes ces souffrances sont à mon dos
Aurai-je la force de te pardonner ? Maman !
Comment en sommes nous arrivé là ?
Je cherche la force pour avancer,
Maman !
Pourquoi souhaitais-tu mon trépas ?
L'affection maternelle ne me dit rien, lien de sang ? Quelle foutaise !
J'ai une question pour le divin, quand me delivreras tu malaise ?Il s'approche lentement, j'attends que le bonheur me fasse la cour
Ça m'oppresse maintenant, l'attente, depuis des années de mon amour
Mon coeur bat-il à l'unisson ? Ai-je un âme-soeur ? Un compagnon...
Mon coeur est encore nourrisson, rien n'est réel dans mon cocon...
Je me sens si seule, tu sais. J'dois errer vers nul part
Dans ta tombe, je me recueil, j'repenserai à cette vie plus tard
Ma joie, naufragée, au fond de mon âme, pas de la mer
J'suis une voix silencieuse, mes 21 grammes en galère...L'idée de la mort me terrifie, et vivre est une épreuve
Je suis parmis ceux qu'on qualifie, des vendeurs de rêve....
Je me suis menti à moi même, je me suis forcé à espérer
J'ai tant cherché qu'on m'aime, j'ai tout fait pour aller mieux
Tant errer, mais quand même, j'ai étouffé mes bonnes idées
C'est un problème de gêne, tout ça est peut être parenté...P R O M É T H É E
(Source image: Pinterest)
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