𝗖𝗛𝗔𝗣𝗜𝗧𝗥𝗘 𝟮 | 𝖡𝖺𝗋𝖻𝖺𝗋𝗂𝖾

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𝗡𝗼𝘁𝗲𝘀 ↬ Ce chapitre contient des scènes graphiques et des actes de violences y sont dépeint

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𝗡𝗼𝘁𝗲𝘀 ↬ Ce chapitre contient des scènes graphiques et des actes de violences y sont dépeint. Je tenais à le préciser pour les plus fragiles.

Egalement, les dialogues en gras signifient que les locuteurs parlent dans une langue autre que l'anglais (qui sont les dialogues par defaut, étant donnée que l'héroine parlera majotitairement en angalis). Pour le confort du lecteur, j'ai décide de les traduire tous, hormis lorsque ce sont de petits mots. Ici, les dialogues en gras sont à l'origine en français, mais si c'est une autre langue, je le préciserais.

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J'adorais décembre. En plus du fait que mon anniversaire se situait en ce début de mois, les fêtes de fin d'année avaient toujours eu une place particulière dans mon cœur. Elles étaient la parfaite occasion pour moi de retrouver avec joie ma famille aimante autour d'un repas festif et chaleureux, préparé avec amour par mon père. De rentrer chez moi sur la Côte d'Azur, lorsque nous n'organisions pas une semaine de voyage dans une des belles capitales européennes. J'aimais décorer avec ma famille, notre maison, et m'y promener tard dans la nuit, pour voir mille et une lumières éclatantes clignoter dans ses couloirs endormis. Depuis enfant, elles me berçaient de nostalgie, comme une veilleuse, passant par l'interstice de ma porte, me rappelant que bientôt le Père Noël arrivera avec une multitude de cadeaux pour moi.

J'avais toujours aimé laisser le privilège à mon petit frère, de déposer l'étoile au sommet de notre sapin soigneusement et trop richement décorée. Maintenant ce petit bonheur était laissé à mon petit-neveu aux yeux pétillants, en j'en étais d'autant plus heureuse. Et quelle joie que de pouvoir admirer les regards remplis de gratitudes de sa famille lors de la distribution de cadeaux, en dépit des conversations innocentes et débats houleux du réveillon, mais qui faisaient toute son animation réconfortante. Et j'adorais particulièrement la fête de Noël, où toute la famille se réunissait, ensemble sous les douces musiques de Crooners tant aimées par ma mère. Les enfants s'amusaient et les vieux somnolaient près de la cheminée crépitante, avec des verres de vin chaud à la main. Et je parle avec mes cousins, mes oncles et tantes, que je n'avais pas vus depuis l'année dernière. Noël était toujours resté une fête magique, pour moi.

Et cette année, j'avais eu le privilège de le fêter dans mon appartement londonien spacieux. À l'occasion, je ne pouvais qu'accueillir ma proche famille, mes parents, mon petit frère ainsi que sa femme et son fils. Je regrettais de ne pouvoir inviter plus de monde, mais ma mère se faisait une telle joie de retourner à Londres, que je n'ai pu lui refuser. Et comment ne pas la comprendre ? Noël à Londres était tout simplement féerique. Illuminée de toutes parts, les guirlandes scintillantes et les vitrines enfantines des grands magasins étaient telles, qu'il était incroyable de s'y promener dès novembre, nous faisant momentanément oublier le temps désastreux avant les premières neiges.

Mais l'une de mes choses favorites, était probablement les incontournables marchés de Noël si typique de l'Europe. Mon appartement n'étant pas loin, celui de Leicester, au centre de Londres, était parfait pour cette fin d'après-midi, après une journée en famille à crapahuter à travers les rues lumineuses de la ville. Il était petit et simple, mais qu'il était agréable d'y déambuler au son des chants de Noël en humant les effluves de cannelles et de marrons chauds grillés au feu de bois.

𝖠 𝗅'𝖺𝗎𝖻𝖾 𝖽'𝗎𝗇 𝗅𝖾𝗇𝖽𝖾𝗆𝖺𝗂𝗇 𝗂𝗇𝖼𝖾𝗋𝗍𝖺𝗂𝗇 | Ghost x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant