Red dead rédemption: Jack Marston

L'homme de Strawberry

J'ai chevauché toute la journée et je suis finalement arrivé à Strawberry en début de soirée.

Je suis rentré dans l'hôtel trempé jusqu'au os, il pleuvait énormément dehors, trois personnes étaient assissent dans des fauteuils, elle fumait, lisait le journal, et discutait entre eux, un quatrième homme regardait par la fenêtre, il était très bien habillé et semblait absorbé par se qui se passait dehors.

Alors que je montait les escaliers il se tourna vers moi et dit.
-Ses fou à quelle point se monde est petit mon cher monsieur.
Je fis un signe de la tête pour acquiescer avant de monter.

Cette homme me disait quelque chose et je me sentais mal à l'aise quand il sait mit a me parler.
Je suis rentré dans ma chambre, mais vêtements était trempé, demain j'irai sûrement vers Valentine ou Rhodes, il doit bien y avoir quelqu'un qui pourrait me proposer du travail là haut.

Le lendemain matin je me suis levé de bonne heure, le sol était trempé et boueux, l'homme d'hier soir était sur le pallier de l'hôtel fumant une cigarette, il sait tourner vers moi et a dit.
-Vous savez je vous connais monsieur Marston.
-C... Comment me connaissez-vous ?
-Oh je ne vous connais pas vous mais votre père lui...
-Vous connaissiez mon père ?
-Oui nous nous sommes rencontrés non loins d'Armadillo en 1911 alors qu'il traquait Bill Williamson.
-Je vois, et vous comment vous appeler vous ?
-Vous n'avez pas a le savoir, mais il serait intéressant pour vous de savoir qu'il y a un avis de recherche qui pourrait vous intéresser dans le bureau du chérif.
-En quoi ça pourrait m'intéresser ?
-J'ai entendu dire que vous êtes un bon tireur.
-Qui vous a dit ça ?
-Un homme...
-D'accord... au revoir monsieur j'espère que nous nous reverrons.
-Oh nous nous reverrons monsieur Marston, je vous l'ai dit.. le monde est petit.

Je suis parti vers le bureau du chérif et l'homme au costume noir semblait avoir disparu.
J'approchais de la porte du bureau et je ne sais pas pourquoi mais j'ai regardé derrière mon épaule, je craignais de revoir cette homme étrange derrière moi, je ne savais pas pourquoi il m'inquiétait tant.