Chapitre 3

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- Qui t'a permis de quitter le lit ?

Il ne dormait pas ?

- Tu m'as réveillé idiote.

- Pardonnez moi maître.

Il s'affale à mes côtés et me tire pour m'asseoir sur son bas ventre.

- Qu'est-ce que... dis-je en sentant une drôle de bosse sous moi.

- Chut, chuchote-t-il en plongeant sa tête dans mon cou, contente toi d'obéir.

Il repose son dos à la tête de lit et attrape mes hanches pour me faire bouger d'avant en arrière, parfois le maître fait des choses étranges sans donner d'explications, alors je me contente d'obéir pour éviter qu'il me punisse.

- Tu seras puni pour avoir osé quitter le lit sans ma permission et pour m'avoir réveillé.

Ah.

Je sens la bosse commençait à grossir sous mon intimité.

- Maître, je n'aime pas ça, chuchotais-je en sentant mes jambes trembler.

Un sourire mauvais prend place sur ses lèvres alors que l'une de ses mains se déplace de ma hanche jusqu'à mon ventre où elle se pose à plat.

- Un jour je te l'enfoncerais tellement profondément ici que tu ne pourras plus sentir tes jambes alors profites au lieu de te plaindre.

- Ah... je ne comprends pas de quoi vous parlez, Maître... je me sens bizarre...

De drôles de sons sortent de ma bouche comme lorsqu'il me punit où qu'on prend un bain, je sens un liquide entre mes jambes, maître Aaron dit que je produit du miel parce que je suis contente mais là je me sens juste étrange.

- Tellement belle.

Ses mains s'agrippe fermement à mes hanches et les font bouger de plus en plus vite sur la bosse qui frappe ma partie intime en même temps.

Mes gémissement sont devenus des cris alors qu'une vague plus grosse que les autres pointe le bout de son nez.

Je regarde le maître d'un air suppliant et il sourit en prononçant les mots que j'attendais tant.

- Je t'autorise à jouir.

Il n'a pas eut à le dire 2 fois, je cri fort et m'efondre sur son torse alors qu'il continue les va et viens mais lentement d'une main et qu'il me caresse mes cheveux blonds de l'autre.

- Bonne fille.

Mes paupières deviennent lourdes et alors que je m'apprête à retourner dans les bras de Morphée, sa voix s'élève à nouveau;

- Ne t'endors pas, on vient à peine de commencer, mon ange.

Mon AngeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant