❤Mon petit senpai❤ [Japanese style]

Chapitre 3 : Connaissance

Je me suis assise sur la chaise.

Eiji me suivit et s'asseya a côté de moi.

Eiji : Ça te fait pas chier ?

J'espère qu'il parle pas de moi...

Aimi : Hein ?

Eiji : Les devoirs tout ça, c'est lourd.

Aimi : Ah si ! J'aime pas du tout !

Ah ! Il a un point commun avec moi !Ça me satisfait quelque part.

Eiji : Bon ben, on commence comme ça plus vite commencé plus vite terminé !

Aimi : Ouais

Eiji m'expliqua un peu les maths.

Mais une question me vint a l'esprit.

Aimi : Comment ça se fait que tu est des bonnes notes alors que t'aime pas travailler ?

Eiji : Ben, je suis naturellement intelligent !

Quel frimeur, celui là.

Eiji continua a m'expliquer.

Eiji : Va y, met le 2 ici.

Aimi : Oui.

Je pris mon stylo, puis écrit le 2 ...au mauvais endroit.

Eiji : T'es gouré.

Aimi : Ah.

Je pencha mon bras pour attraper la gomme de ma trousse et quand je replia mon bras, celui ci frôla celui de Eiji.

Ça m'a donné des frissons.

Attend quoi ? Tu le trouve attirant margré sa taille ?

Eiji, lui ne réagi pas.

Je gomma mon erreur, rougissante.

Puis Eiji continua a m'expliquer.

Le temps passa, les 2 heures se sont écoulés.

Le prof ouvrit la porte de la classe.

Prof : Vous avez terminé ?

Eiji hocha la tête.

Prof : D'accord.

Le prof prit mon cahier et le posa sur son bureau.

Prof : Vous pouvez partir, on se revoi ici a la même heure demain.

Eiji se leva en premier et sortit de la classe. Je me leva et sortit également de la classe.

Je sortis du lycée ,
Et me diregea vers chez moi.

Je rentrit chez moi.

Mère : Alors ses devoirs ?

Aimi : Je les ai fait.

Mère : D'accord.

Après avoir diné en compagnie de mes parents, je partis me coucher.

Le lendemain, après avoir terminé ma routine matinale, je me rendit au lycée.

Arrivé dans ma classe, je remarqua que Miyuri n'était pas encore là.

Je vis Eiji debout rigoler avec ses copains.

Eiji : Hahaha

En le regardant, il est vraiment beau quand il sourit. Et son rire...il a vraiment une belle voix.

Bon, cesse de rêveries, Aimi !