SIALOSTRE | EN COURS D'ÉCRITURE

CHAPITRE 17. Ojos

BONJOUR 👀♥️

FIÈRE DE MOI D'AVOIR UN ÉCRIT CE CHAPITRE EN UN TEMPS RECORD 😭✨♥️

BONNE LECTURE DU COUP 🌝📖♥️

VANESSA

Estos dos ojos...

Diamante...

Et la réalité me tombe dessus lorsque je relevai mes pupilles brunâtres. Le temps se suspendu lorsque mon regard s'ancra dans ces iris glaciales. Trois secondes, cinq seconde, dix seconde, le monde extérieur semblait s'effacer.

Cristal....

Mon regard se figea dans le sien, et mon cœur se serra d'effroi. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine, mes sens en alerte maximale, tandis que je me perdais dans ses yeux.

Helados...

Nos regards se croisèrent dans un échange muet qui semblait durer une éternité. Chaque seconde semblait durer une éternité. Dans ses yeux, je pouvais voir ma propre mort, une fin inéluctable qui me terrifiait.

Mon cœur tambourinait dans ma poitrine, la peur m'envahissant profondément, créant une sensation de froid glacial dans le creux de mon estomac. L'angoisse monta en moi alors que je réalisais qu'il était là, juste en face de moi. Un hoquet m'échappa, et l'envie de hurler de désespoir me submergea. Mon cœur refusait de se calmer. Mon esprit me projetait déjà l'image du canon d'une arme froide pressé contre ma tempe, et puis... OH PUTAIN L'HORREUR ! Des frissons parcourent mon corps, mes yeux se plissèrent, et les larmes coulèrent involontairement.

Son regards étaient toujours sur le mien, ses iris étaient d'une... arrête-toi Van'. Je m'empressai d'essuyer rapidement mes larmes avant qu'elles ne prennent le dessus.

Mon regard se détourna sur le corps inerte au sol. J'avais assister à la scène, je l'avais vu le tuer. Je... OOOOOH PUTAIN ! Je mis la bouche énervé avalant l'horreur de la scène. Je serrai ma bouche, essayant de réprimer l'horreur de la scène. Comment diable pouvais-je m'en sortir avec un psychopathe à mes trousses ? En présence d'un véritable meurtrier ? Je préférai vivre dans le déni plutôt que d'affirmer les faits devant moi.

Ça ne pouvait pas être vrai !

Un humain ne peut pas être d'une telle monstruosité !

CELA NE DEVRAIT PAS ÊTRE POSSIBLE !

Pourtant, mon esprit m'obligeait à confronter la réalité, à rembobiner les événements jusqu'à la minute où j'avais tout vu. Cet homme aux iris glacials avait tiré sur... Je me sentais écoeurée de l'intérieur, ce monde était réel, pourtant j'avais du mal à l'accepter. Mes yeux bouillonnaient de larmes et cet fois, je ne pouvais pas les arrêter. La réalité me frappa de plein fouet, brutale et impitoyable. Et mon cerveau se décida de s'habituer à cette scène maintenant : Chaz était un connard, un psychopathe, il avait tiré sur un homme, cette homme au sol en recevant la balle au beau milieu du crâne.

Je vis la veine pulsante sur sa tempe s'agrandir, et le bruit du chargement d'armes par les hommes de Chaz retentit, faisant battre mon cœur à tout rompre. Mon cœur se serra alors la main serrait ma bouche en retenant un cri. Mes iris étaient ancrés dans le science et je pouvais sentir qu'il allait exploser. Mon coeur s'emballât quand il fit un pas vers moi. Je sursautai. Ses sourcils étaient froncés, quand il ne parlait, il semblait très calme, pourtant une haine du monde en lui.