15

15.4K 326 80
                                    

pdv de sana :

moi : nonn

lyes : si

moi : t'facon c'est pas ouvert cher moi

lyes : j'vais sonner, si tu m'ouvre pas je continue comme sa ton frère va se réveiller et jvais dire que tu voulais me voir

moi : orgh vsy toi ok c bon j'arrive

En vrai j'avais juste à montré les messages comme preuve mais d'un côté sa me fessais kiffer de le voir genre en cachette un peu, bref enft jspp.

lyes : ouvre j'suis devant

j'ouvre la porte, un sourire arrogant se dessine sur son visage.

lyes : selem ma belle

moi : chuut sa dort chez moi

je referme la porte quand je sens ses mains sur mes hanches, j'ai eut des papillons dans le ventre.

moi : enlève t'es mains par contre

lyes : nan ma belle

j'enlève et le pousse.

lyes : ahah

il part dans le salon, je le suis et m'assois en face.

moi : tu veux quoi ?

lyes : rien

moi : t'es venu la pour quoi ?

lyes : te voir

moi : après que je me suis pris une claque par mon frère à cause de toi ?

lyes : comment sa ?

moi : tu lui à dit ouais elle a dit qu'elle fait se qu'elle veut machin questa à poucave déjà et sa te regarde pas

lyes : vsy toi bah va va parler à t'es mec

moi : bah bien sûr j'vais pas me gêner

il me regarde avec de la haine.

lyes : vsy j'men blc t'facon

moi : fait pas genre t'es jaloux

lyes : moi jaloux ? tu c jsuis qui moi ? ta cru j'étais ton p'tit pd

moi : mdrrr bref

lyes : l'autre mec de ta leur il t'aime bien j'crois

moi : sah ?

lyes : ouais

moi : okk

lyes : t'es contente ?

moi : oui j'suis trop contente (ironiquement) , quesque j'men blc des mec moi j'ai pas le temps et avec mon frère c'est mort alors bon qu'il reste dans son délire

lyes : AHAHAHAA

moi : tg putain

lyes : mdrrr tu me termine, bref ma belle demain tu fais quoi ?

moi : rien

lyes : J't'emmene graille

moi : non

lyes : j'tes pas demander ton avis donc soit prête à 13h j'viens te chercher

moi : on va où ?

lyes : bah manger

moi : oui mais où ?

lyes : tu verra t'inquiète

moi : okk bref à demain je vais dormir

lyes : attend

On se faisait la guerre sans se séparerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant