La Mère des Béliers

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En ta présence, je ne ressens point de haine,

Déveine, Migraine, tu entres en scène, tu nous mènes,

Nous sommes assis au beau milieu d'un chêne,

Le destin nous guide, et nous lie par une chaîne,

Avec toi, c'est la fête, une ambiance à l'Africaine,

Impossible de t'arrêter, personne ne te freine,

Aussi poète, je conte sur une fontaine,

Prions pour la déesse de lune ; prions pour Sélène.

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Ce poème est très particulier. Car il s'agit du premier poème de ce genre que j'ai écrit. C'est un peu le prototype, si on peut le dire.

Il a une place particulière dans ma vie. Car c'est à ce moment-là que j'ai commencé à me plonger de plus en plus dans l'écriture. Le jour où j'ai écrit ce poème, j'ai remis en cause ma perspective et aussi la manière dont j'écris un texte, ou voir même un poème. Tout en mettant en avant un thème, un sujet ou une histoire en avant.

Personnellement, je ne pensais pas le mettre en ligne. Pour une raison plus personnelle, mais je n'en dirais pas plus.

Tout ce que je peux dire, c'est que ce poème symbolise le véritable début de ce recueil.

D'ailleurs, je vous le demande encore... Avez-vous compris pour la tragédie inachevée ?

Si oui, dites le.

Sinon... Bonne lecture pour la suite.

Bisous. Prenez soin de vous, et amusez-vous.

LIGHT GINGANOME

Les récits de la tragédie inachevéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant